John R. Searl était ingénieur électricien, employé par la Midland Electricity Board lorsqu’il construisit un ensemble de disques rotatifs afin de générer et faire tourner une charge électrique. Son appareil consistait en un disc rotor segmenté, que l’on mettait en rotation à grande vitesse à travers des électro-aimants situés dans sa périphérie. Les électro-aimants, énergétisés par le rotor, étaient censés accélérer la force électro-motrice.
C’est en 1957, que Searl et un ami testèrent le générateur mesurant environ trois pieds de diamètre (un mètre), pour la première fois à l’extérieur. Au début du test, le générateur produisit la puissance électrique attendue, mais à un voltage anormalement élevé. Très vite, le million de volts fut dépassé, produisant un crépitement et une odeur d’ozone.
Pour citer Searl : » Une fois que la machine a dépassé un certain seuil de potentiel, l’énergie à la sortie excédait l’énergie d’entrée. A partir de ce moment là production d’énergie semblait virtuellement sans limites. » Ensuite, quelque chose de vraiment spectaculaire se produisit. Au fur et à mesure que le générateur continuait d’augmenter en potentiel, il se souleva du sol et se détacha de ses montures d’arrimage et du moteur. Il se mit à flotter en l’air en tournant de plus en plus vite. Tout autour du générateur, l’air était devenu rose fluorescent tant l’ionisation qu’il produisait était importante.
Dans les parages, des récepteurs radio se mirent à fonctionner spontanément à cause de l’induction électro-magnétique. Ensuite, l’appareil accéléra et disparut dans l’espace et ne fut jamais revu. Au cours de ses expériences suivantes, Searl monta ses turbines, qui mesuraient trente pieds de diamètre (dix mètres), plus fermement dans le sol.
Michael Faraday fit quelques découvertes remarquables mais peu connues en rapport avec les aimants rotatifs. Celles-ci furent développées par un certain nombre d’inventeurs du 20ème siècle, dont Bruce de Palma et Adam Trombly, qui construisirent des machines-N ou générateur uni-polaire.
La découverte de Faraday était remarquablement simple, mais totalement révolutionnaire. Si une banc aimantée est mise en rotation, le différentiel en vélocité sur le rayon de chaque élément magnétique tournant, génère un vortex magnétique. Cet effet est accentué avec une série de bancs aimantées dont le rayonnement part d’un axe central rotatif ou d’un disque magnétique rotatif. A partir d’un certain seuil de vélocité angulaire, le vortex magnétique actionne un portail d’énergie inter-dimensionnelle par le biais de la résonance d’un vortex.
Ce simple ensemble constitue le principe d’opération de la plupart des machines fournissant de l’énergie gratuite. Si un second ensemble d’aimants rotatifs ou un disque magnétique rotatif, est couplé au premier, mais disposé de manière à tourner dans le sens contraire de ce dernier, les deux vortex magnétiques en opposition, génèreront une force d’anti-gravité.
Les propriétés du mouvement sous forme de vortex que sont l’énergie gratuite et l’anti-gravité, furent indépendamment découvertes par un inventeur autrichien nommé Victor Schauberger. Reconnu pour ses constructions de » canaux » permettant d’accélérer l’acheminement de troncs d’arbres par voie d’eau, Victor Schauberger était appelé par son entourage » le magicien de l’eau « , En effet, il fut le premier à construire une turbine produisant de l’énergie gratuite, ainsi qu’une force d’anti-gravité, en faisant tourbillonner de l’eau glacée pour obtenir une forme de mouvement en vortex.
Victor Schauberger était un jeune garde forestier dans la forêt sauvage de Bemerau, en Autriche, lorsqu’il fit ses premières observations de la puissance du vortex en mouvement. Voici son témoignage :
» Cela se passait au début du printemps par une nuit au clair de lune à la saison de la ponte. J’étais au bord d’une chute d’eau dans l’attente d’attraper un pêcheur braconnier en flagrant délit. Ce qui se produisit alors fut si rapide que j’eus du mal à comprendre ce qui se passait ! La lumière de la Lune tombant à là verticale dans l’eau claire comme du cristal me permettait d’observer chaque mouvement des poissons qui se regroupaient en grand nombre. Tout d’un coup les truites se dispersèrent à l’apparition d’un poisson particulièrement grand qui remontait du fond pour se mesurer à la chute d’eau.
Cette truite de grande taille parut vouloir perturber les autres truites en dansant en d’amples mouvements de torsion, de va et vient d’une nage rapide. Ensuite, aussi soudainement qu’elle était apparue, la grande truite disparut dans la cataracte liquide qui brillait comme une chute de métal. Puis je la vis en un éclair dans un courant d’eau de forme conique dansant en un mouvement de rotation sauvage dont la raison ne m’ apparut pas de manière claire du début, C’est alors qu’elle émergea de ce mouvement rotatif et flotta vers le haut sans bouger. Enfin, lorsqu’elle atteint la courbe inférieure de la chute elle se retourna et d’une poussée puissante parvint à la courbe supérieure de la chute.
Plongé dans mes pensées je remplis ma pipe et la fumais jusqu’au bout sur le chemin me ramenant chez moi. Par a suite j’eus d’autres occasions d’observer la même séquence de jeu d’une truite montant une chute imposante. »
Schauberger se rendit également compte que le mouvement de vortex de l’eau, un peu au-dessus de 0 degré Centigrade, générait la puissance nécessaire pour soulever des galets arrondis. Cependant, ce qui l’intriguait le plus, c’était les truites dans les ruisseaux de montagne. Comment se faisait-il qu’elles pouvaient rester sans bouger, comme si elles étaient suspendues, dans un rapide courant d’eau, et puis filler à la vitesse de l’éclair vers l’amont. Schauberger était convaincu que la turbulence et le mouvement de vortex de l’eau, à son point de densité maximale (4 degrés Celsius), générait une force dans la direction opposée à celle du courant. Il était également convaincu du fait que cette force était à l’origine du soulèvement des galets et que les truites pouvaient trouver le courant d’énergie de l’amont et l’utiliser pour rester suspendues sans bouger dans un rapide courant d’eau, ou se propulser vers l’amont ou par-dessus les chutes d’eau. Pour lui, la truite utilisait aussi une force générée par le mouvement en spirale de l’eau passant à travers ses ouïes et sur la surface de son corps.
Victor Schauberger était convaincu que le vortex conique ou spirale cycloïde était une source d’énergie. Afin de tester son idée, il entreprit de construire un turbine à vortex basée sur le même principe de torsion, d’enroulement et de rotation qu’il avait observé dans les rapides courant d’eau glacée des ruisseaux de montagne. Les formes de turbines qu’il conçut et qui connurent le plus de succès, étaient basées sur l’idée des spirales en forme de tire-bouchon éjectées par les ouïes des truites et de ce fait, il appela son appareil la turbine truite (trout turbine).
Au cours de toutes ses expérimentations, Schauberger se rendit compte que la température et la structure de l’eau étaient critiques de même que la forme de sa turbine, ainsi que les matériaux utilisés pour sa construction. Au début des années 30, il fabriqua, avec des matériaux spéciaux, des tuyaux coniques contenant une turbine en tire-bouchon, Ces turbines spiralées, actionnées par un moteur électrique, éjectaient un courant d’eau en vortex et dirigeaient cette eau vers une turbine conventionnelle couplée à un générateur. Schauberger prétendait que lorsque l’eau passait de plus en plus vite dans la turbine en tire-bouchon, cette première produisait d’énormes quantités d’énergie.
Un fois couplée à une dynamo, la turbine se mit à produire plus d’électricité que le moteur rien consommait à l’entrée. Le système s’emballa rapidement et l’appareil s’arracha de ses points d’attaches pour aller se fracasser au plafond. De plus, lorsque Schauberger fit des expériences avec des turbines à air, le même phénomène se produisit. Donc, peu importe le moyen utilisé, le mouvement du vortex semblait générer de l’énergie, venant apparemment de nulle part et produisait également une force d’anti-gravité.
Juste avant le début de la Seconde guerre Mondiale, la firme viennoise Kertl construisait et testait les turbines à vortex de Schauberger dans l’optique de les utiliser dans des moteurs d’avions. Un ingénieur nommé Aloys Kokaly était employé dans la fabrication de certaines pièces et c’est lors de l’une de ses livraisons de pièces à l’usine Kertl qu’on lui dit : » Ceci doit elle préparé pour Monsieur Schauberger selon les ordres donnés par une autorité supérieure mais lorsque c’est fait il faut le mettre dehors car lors d’un test précédent de l’un de ces étranges assemblages, ce dernier passa carrément à travers le toit de l’usine. » D’autre part, Joseph Newman, un inventeur américain, découvrit également que de l’énergie gratuite pouvait être obtenue grâce au mouvement du vortex. Son appareil faisait tourner des champs électromagnétiques. La machine de Newman était composée d’un certain nombre d’aimants tournants reliés entre eux par un fil de cuivre de manière à former une armature magnétique à courants réciproques. Selon Newman, lorsque l’armature se mettait à tourner, une force électromagnétique était induite et se développait en un mouvement en forme de spirale autour du fil de cuivre conducteur, Tout comme les aunes générateurs de vortex, l’appareil de Newman paraissait produire de l’énergie venant de nulle part. Mentionnons également l’article paru dans The Guardian du 21 mars 1986, qui rapportait qu’en 1985, le Docteur Roger Hastings, physicien en chef de la Sperry-Univac Corporation, testa l’appareil de Newman. Il s’aperçut que le rendement de la production de la machine était de loin supérieur à 100%. Le 20 septembre 1985, Hastings fit paraître un article disant que.., le 19 septembre 1985 le moteur avait été mis en route avec une arrivée de 1 000 et 2. 000 volts à la batterie produisant à la sortie une puissance de 50 et 100 watts respectivement. La puissance à l’entrée, lors de ces test était de 7 et 14 watts donnant de ce fait un rapport de rendement de 700% et 1.400% respectivement…
Searl, Schauberger et Newman, travaillant indépendamment les uns des autres, découvrirent tous la même chose. Le mouvement généré par le vortex produit de l’énergie gratuite défiant apparemment les lois de la thermodynamique. Les machines à énergie gratuite qu’il construisirent sont appelées machines à sur-unité car elle fonctionnent à un rendement excédant 1000/o, Pourtant, les expériences que firent Searl, de Palma, Trombly, Schauberger et Newman ne furent pas répétées dans les établissements universitaires et leurs hypothèses ne furent pas prises au sérieux par les scientifiques professionnels sur base qu’il est impossible de produire de l’énergie venant de nulle part. Donc les chercheurs dans le domaine de l’énergie gratuite furent opposés, ignorés ou considérés comme pseudo scientifiques et leurs appareils furent rejetés comme étant des machines à mouvement perpétuel. En 1987, Newman fit fonctionner son générateur en le fixant au châssis d’une Porsche, remplaçant ainsi le moteur de la voiture. Cette voiture, démarrée grâce à une batterie, fonctionna sans essence. Cependant, l’American Patent Office (Office Américain des Brevets) refusa d’ accorder une patente à son invention sous prétexte qu’il s’agissait d’une machine à mouvement perpetuel.
Etant donné qu’il est communément considéré que le mouvement perpetuel est impossible, toute invention reconnue de machines à mouvement perpetuel se voit automatiquement refuser l’accès à un brevet et de ce fait, le développement commercial de son moteur fut effectivement bloqué. Lorsque Trombly tenta d’obtenir une patente pour son générateur uni-polaire, le US Patent Office la lui refusa pour les mêmes raisons. De plus, Les autorités de la US Défense (Défense militaire américaine) traduirent Trombly en justice, le menaçant d’une peine de 10 ans de prison pour avoir enfreint les recherches secrètes du gouvernement dans le domaine des générateurs uni-polaires, Schauberger pensait avoir découvert un moyen de produire de la » fusion nucléaire à froid « . En effet, il assimilait ses turbines à vortex à des engins à implosion. Cependant, les alliés le découragèrent de poursuivre ses recherches. Peu après la fin de la Seconde Guerre Mondiale, un groupe de soldats américains arrivèrent chez Schauberger à Vienne, saisirent son appareil et le prirent en garde à vue. Ce qu’ils laissèrent derrière eux fut ensuite détruit par des agents soviétiques qui détruisirent son ’ appartement à la bombe. Les autorités américaines lui interdirent de continuer ses recherches sous peine d’être à nouveau arrêté.
Les autorités britanniques traitèrent Searl de la même façon. En 1987, alors qu’il était occupé à l’une de ses expériences, dans sa maison de Mortimer dans le Berkshire en Angleterre, un groupe d’officiers pénétrèrent chez lui, confisquèrent son appareil et arrachèrent le câblage électrique. Il fut jugé pour vol d’électricité et condamné à payer une amende. son appareil ne lui fut jamais rendu, donc il refusa de payer l’amende. son refus de se soumettre au verdict de la justice l’amena en prison. Et pendant que Searl était incarcéré, sa maison fut incendiée et la plupart de ses appareils et archives furent détruits. Cet épisode se conclut par la destruction de son mariage.
Le Docteur Wilhelm Reich, un scientifique autrichien, fut encore un ingénieur électricien, dans notre soi-disant » libre société » à subir un traitement similaire. Reich avait émigré en Amérique où il avait tenté de développer sa découverte d’un moyen de se servir d’une forme d’énergie subtile qu’il appelait l’énergie des Orgones.
Il utilisait ses appareil à énergie d’orgones pour dissiper des tempêtes et traiter des maladies telles que le cancer. A cause de cette dernière découverte, il tomba en disgrâce avec l’American Medical Association et la Food and Drug Administration. Il fut envoyé en prison. Par suite, ses livres et archives furent brûlés et son matériel de recherche détruit par les autorités américaines. Et pourtant, bien qu’il fut dénoncé comme un farfelu et largement discrédité, les découvertes de Reich furent utilisées dans des programmes de recherches secrètes et Reich fut encouragé à continuer ses recherches sur l’anti-gravité pendant son séjour en prison.
Dans le Numéro 7 de Deutsche Physik, un rapport informe le lecteur que le 19 mai 1992, à 8 heures du matin, six policiers armés firent irruption dans la maison de Jurgen Sievers, Directeur et Député général d’une société allemande du nom de Becocraft. La maison fut fouillée et fous les papiers concernant la société furent confisqués.
Le 15 juin, Sievers était arrêté dans la rue et mis en détention préventive à Kôln-Ossendorf. Sievers et sa société furent accusés d’investissement frauduleux. En fait, la société 8ecocraft était sur le point de réaliser le développement commercial de la » machine à faire de l’énergie gratuite « , inventée par un autre inventeur autrichien, Stephen Marinov.
La science est sensée être impartiale et pourtant elle permet que l’on traite la recherche sur l’énergie gratuite de frauduleuse tout simplement parce que la science dépend actuellement de financements gouvernementaux et industriels. les universités et les scientifiques professionnels doivent sauvegarder leur réputation et leurs revenus.. Seul les scientifiques amateurs tels que Tesla, Reich, Schauberger, Searl, Newman, de Palma, Trombly et Marinov – des hommes motivés par l’amour de la science plus que par un statut professionnel, une réputation, une carrière ou de l’argent- peuvent se permettre d’être impartiaux. Les puissances qui font danser les gouvernements et les universités comme des marionnettes, ont mis un crédit financier illimité à leur disposition pour soutenir une recherche futile dans le domaine du nucléaire et autres énergies coûteuses, afin de maintenir les physiciens des universités occupés et de (es distraire de la vérité) que ces puissance préfèrent garder secrète. Donc, au lieu de servir de véhicule de vérité, la science terrestre est devenue un moyen de discréditer tout ce qui menace la suprématie des puissance économiques et industrielles qui détruisent la terre.
L’apparition d’une énergie inconnue dans un système physique pourrait indiquer qu’il contient une faille, non pas en ce qui concerne les lois de la thermodynamique, mais bien dans le paradigme scientifique existant et démodé, qui n’accepte pas l’existence d’une réalité si celle-ci ne peut être physiquement observée. Donc, du fait qu’il y a un préjugé scientifique contre toutes les réalités non-physiques, l’évidence même de circonstances est ignorée, rejetée ou discréditée auprès de l’opinion publique par des moyens frauduleux.
Recherches extraordinaires
David Ash traduit de l’anglais par Alain Goomaghtigh
David Ash traduit de l’anglais par Alain Goomaghtigh
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