samedi 31 décembre 2011

TÉMOIGNAGES CONSTATANT L’EXISTENCE DE L’ATLANTIDE

 
Ref: http://librairie.immateriel.fr/fr/read_book/2000000623818/006
CHAPITRE PREMIER

TÉMOIGNAGES CONSTATANT L’EXISTENCE DE L’ATLANTIDE
 
Le témoignage des auteurs les plus anciens ainsi que les recherches scientifiques des temps modernes témoignent de l’existence d’un ancien continent qui aurait occupé la place de l’Atlantide disparue.
Avant de poursuivre l’étude de la question elle-même, on se propose de jeter un coup d’œil rapide sur les sources généralement connues et qui fournissent à ce sujet des preuves corroborantes.
Ces sources peuvent être réunies dans les cinq classes suivantes :
1° Le témoignage que nous donne le sondage des grandes profondeurs maritimes ;
2° La distribution de la faune et de la flore ;
3° La similitude du langage et du type ethnologique ;
4° Celle des croyances religieuses, des rites, de l’architecture ;
5° Le témoignage des auteurs anciens ; les traditions primitives et les vieilles légendes concernant le déluge.
En premier lieu, le témoignage des sondages maritimes peut être résumé en quelques mots. Grâce surtout aux expéditions des canonnières anglaises et américaines, le Challenger et le Dauphin (bien que l’Allemagne se soit aussi associée à cette exploration scientifique), on a pu dresser la carte du lit de l’océan Atlantique. On a démontré ainsi qu’il existe au milieu de l’océan une immense chaîne de montagnes d’une grande élévation. Cette chaîne s’étend dans la direction du sud-ouest depuis le 50° nord environ jusqu’aux côtes de l’Amérique méridionale, puis dans la direction sud-est vers les côtes de l’Afrique, changeant de nouveau de direction aux environs de l’île de l’Ascension et se dirigeant vers le sud jusqu’à Tristan d’Acunha. Elle s’élève presque subitement des profondeurs de l’océan à une hauteur de 9.000 pieds, tandis que les Açores, Saint-Paul, l’Ascension et Tristan d’Acunha sont les pics de cette contrée qui, seuls, demeurent encore à la surface de l’eau. Une ligne de 3.500 toises, c’est-à-dire de 21.000 pieds, est nécessaire pour atteindre aux plus grandes profondeurs de l’Atlantique ; mais les parties les plus élevées de la chaîne sont situées seulement à une profondeur de cent à quelques centaines de toises au-dessous du niveau de la mer.
Les sondages ont prouvé encore que cette grande chaîne est couverte de débris volcaniques, dont les traces se retrouvent à travers l’océan jusque vers les côtes de l’Amérique.
Il a été établi, en effet, d’une manière décisive, à la suite des travaux accomplis par l’expédition dont il est question plus haut, que le sol formant actuellement le lit de l’océan a été le théâtre d’éruptions volcaniques gigantesques, et cela durant une période géologique qui peut être aisément déterminée.
M. Starkie Gardner pense que, « dans la période éocène, les Îles Britanniques faisaient partie d’une grande île, ou mieux d’un continent qui s’étendait dans l’Atlantique, et il croit qu’une grande région continentale existait alors, là où se trouve aujourd’hui la mer ; et que la Cornouaille, les îles Scilly et celles de la Manche, l’Irlande et la Bretagne sont les vestiges de ses sommets les plus élevés ». (Pop. Sc. Review, july 1878.)
Deuxièmement. – L’existence constatée d’une faune et d’une flore similaires ou même identiques sur des continents séparés par de grands océans, a toujours été une énigme pour les biologistes aussi bien que pour les botanistes. Mais s’il a jadis existé un lien entre ces continents, – lien qui permettait la migration naturelle de tels animaux ou de telles plantes, – l’énigme se trouve résolue. Or, on trouve des restes fossiles de chameaux aux Indes, en Afrique, dans l’Amérique méridionale et au Kansas ; mais l’hypothèse généralement admise par les naturalistes est que chaque espèce animale, chaque plante apparurent originairement sur une certaine partie du globe d’où elles se répandirent peu à peu dans les autres contrées. Comment alors expliquer l’existence de ces restes fossiles, sans admettre le fait d’une communication possible entre les continents à quelque époque reculée. Des découvertes récentes dans les couches fossiles du Nebraska semblent prouver que le cheval est originaire de l’hémisphère occidental, car c’est la seule partie du monde où des restes fossiles ont été découverts indiquant les diverses formes intermédiaires qui ont été regardées comme représentant les précurseurs du véritable cheval. C’est pourquoi il serait difficile d’expliquer la présence du cheval en Europe sans admettre l’hypothèse d’une communication constante entre les deux continents ; d’autant plus que le cheval existait certainement à l’état sauvage en Europe et en Asie avant sa domestication par l’homme, laquelle remonte à peu près à l’âge de pierre. Le bétail et les moutons, tels que nous les connaissons aujourd’hui, ont des ancêtres également éloignés. Darwin montre le bétail domestiqué en Europe aux premières époques de l’âge de pierre, alors que longtemps auparavant il était issu du buffle sauvage d’Amérique. Les restes du lion des cavernes d’Europe se retrouvent aussi dans l’Amérique du Nord.
Passant du règne animal au règne végétal, on constate que, en Europe, la plus grande partie de la flore de l’âge miocène – qui se retrouve surtout dans les couches fossiles de la Suisse – existe de nos jours en Amérique, et quelque peu en Afrique. Mais en ce qui concerne l’Amérique, un fait est digne d’être noté ; tandis que la plupart des espèces se retrouvent dans les États de l’est, beaucoup d’entre elles manquent au contraire sur les côtes du Pacifique. Ceci semble indiquer qu’elles pénètrent dans le continent du côté de l’Atlantique. Le professeur Asa Gray affirme que sur soixante-six genres et cent cinquante-cinq espèces trouvés dans les forêts orientales des montagnes Rocheuses, trente et un genres et soixante-dix-huit espèces seulement se rencontrent sur le versant occidental.
Mais c’est dans la question du bananier que se présente le problème le plus difficile. Le professeur Kuntze, un éminent botaniste allemand, se demande : « De quelle manière cette plante, originaire des contrées tropicales de l’Asie et de l’Afrique et qui ne peut supporter un voyage à travers les zones tempérées, a-t-elle pu être transportée en Amérique ? » Comme il l’indique, la plante est dépourvue de graines, elle ne peut se reproduire par boutures, elle ne possède pas d’oignons qui puissent se transporter facilement. Sa racine est dendroïde. Des soins spéciaux seraient nécessaires pour la transporter ; de plus, elle ne pourrait supporter un long voyage. La seule manière par laquelle il puisse s’expliquer son apparition en Amérique est de supposer que cette plante y a été transportée par l’homme civilisé, à une époque où les régions polaires jouissaient d’un climat tropical ! Il ajoute : « Une plante cultivée qui ne possède pas de graines doit avoir été soumise à une culture très prolongée… il est peut-être légitime de supposer que ces plantes étaient déjà cultivées au commencement de la période diluvienne. » Pourquoi, demandera-t-on, cette conclusion ne nous reporterait-elle pas à des temps encore plus éloignés ; et en quoi la civilisation est-elle nécessaire à la culture de la plante, ou la douceur du climat exigé pour son transport, s’il n’existait pas, à quelque époque que ce soit, une communication possible entre l’ancien et le nouveau monde ? – Le professeur Wallace, dans son charmant traité Island Life, ainsi que d’autres auteurs dans maints ouvrages importants, ont émis d’ingénieuses hypothèses pour expliquer l’identité de la faune et de la flore dans des contrées fort éloignées l’une de l’autre et leur transport au delà de l’océan ; mais toutes ces hypothèses sont contestables ou s’écroulent sur différents points.
Il est reconnu que le froment tel que nous le connaissons n’a jamais existé sous la forme de plante sauvage et rien ne prouve non plus qu’il provienne d’une plante primitive. Cinq variétés différentes de froment étaient déjà cultivées en Europe à l’âge de la pierre. L’une de ces variétés, retrouvée dans les « habitations lacustres », est connue sous le nom de froment égyptien. Se basant sur ce fait, Darwin prétend que « les hommes des habitations lacustres entretenaient des relations commerciales avec quelque peuple méridional, ou bien qu’ils descendaient de colons venus du Sud ». Il en conclut que le froment, l’orge, l’avoine, etc., proviennent d’espèces variées aujourd’hui disparues, ou si totalement différentes de celles qu’elles ont produites qu’aucune comparaison n’est plus possible. « L’homme, dit-il, doit avoir cultivé les céréales à une époque fort reculée. » Les régions où florissaient ces espèces disparues ainsi que les civilisations sous lesquelles elles furent cultivées par le moyen d’une sélection intelligente, tout cela est expliqué dans l’hypothèse d’un continent disparu : les colons important ses produits à l’Orient et à l’Occident.
Troisièmement. – De la faune et de la flore, revenons maintenant à l’homme.
Le langage. – La langue basque est la seule des langues européennes n’ayant aucune affinité avec les autres. Selon Farrar, « on n’a jamais mis en doute que ce langage isolé, conservant son caractère dans un coin occidental de l’Europe et entre deux royaumes puissants, ressemble par sa structure à la langue primitive du vaste continent opposé (l’Amérique) et à celle-ci seulement. (Families of Speech, p. 132.) Les Phéniciens furent sans aucun doute les premiers peuples de l’hémisphère oriental qui employèrent l’alphabet phonétique, les caractères étant considérés comme de simples signes représentant les sons. Il est curieux de constater qu’à une époque aussi ancienne nous retrouvons un alphabet phonétique dans l’Amérique centrale parmi les Mayas du Yucatan, dont la civilisation, d’après leurs traditions, serait venue d’une contrée située au delà de l’océan, du côté de l’Orient. Le Plongeon, cette grande autorité en la matière, écrit : « Un tiers de ce langage (le Maya) est du grec pur. Qui donc a apporté le dialecte d’Homère en Amérique ? ou qui est-ce qui a porté en Grèce le langage des Mayas ? Le grec provient du sanscrit. En est-il de même du maya ? ou bien seraient-ils contemporains ? » Il est encore plus surprenant de trouver dans l’alphabet maya treize lettres ayant plus d’un rapport avec les signes des hiéroglyphes égyptiens désignant les mêmes lettres. Il est probable que la forme primitive de l’alphabet était hiéroglyphique. C’était là « l’écriture des dieux », ainsi que l’appelaient les Égyptiens, et qui plus tard, dans l’Atlantide, se transforma en alphabet phonétique. Il serait naturel de supposer que les Égyptiens étaient une ancienne colonie d’Atlantes venus de l’Atlantide (comme ils l’étaient en effet) et qu’ils avaient apporté avec eux le type primitif de l’écriture qui, de cette manière, a laissé des traces dans les deux hémisphères ; tandis que les Phéniciens, peuple maritime, découvrirent et s’assimilèrent la dernière forme de l’alphabet dans leurs trafics avec les peuples de l’Occident.
Un autre point doit être considéré : c’est en ce qui concerne la ressemblance extraordinaire de beaucoup de mots hébreux avec des mots ayant la même signification dans la langue des Chiapenecs – une branche de la race maya et l’une des plus anciennes de l’Amérique centrale. Une liste de ces mots est donnée dans le North Americans of Antiquity, p. 475.
La similitude de langage chez les différentes races sauvages des Îles du Pacifique a servi d’arguments aux auteurs qui ont écrit sur ce sujet.
L’existence de langages similaires chez des races séparées par des lieues d’océan, et entre lesquelles depuis les temps historiques il apparaît qu’il ne pouvait y avoir aucune relation possible, peut témoigner en faveur de leur origine commune, c’est-à-dire d’une seule race qui aurait occupé un seul continent. Mais cet argument ne peut être invoqué ici, car le continent en question n’était pas l’Atlantide, mais bien la Lémurie, beaucoup plus ancienne que celui-ci.
Types ethnologiques. – L’Atlantide, dit-on, ainsi que nous le verrons plus loin, a été habitée par des races rouges, jaunes, blanches et noires. Les recherches de Le Plongeon, de Quatrefages, de Bancroft et d’autres ont prouvé que des populations noires, du type nègre, existaient encore en Amérique à une époque relativement récente. Beaucoup de monuments de l’Amérique centrale sont décorés de figures de nègres, et quelques-unes des idoles retrouvées dans cette contrée représentent visiblement des nègres au crâne déprimé, aux cheveux courts et crépus, aux lèvres épaisses. Le Popul Vuh, parlant de la première patrie des Guatémaléens, dit que « des hommes blancs et noirs habitaient ensemble cette heureuse contrée, vivant en grande paix », parlant « un même langage ». (Voir Native Races, de Bancroft, p. 547.)
Le Popul Vuh expose ensuite comment ce peuple émigra, abandonnant sa première patrie ; comment son langage s’altéra et comment les uns se dirigèrent vers l’Est, tandis que les autres voyagèrent vers l’Ouest (vers l’Amérique centrale).
Le professeur Retzius, dans son Smithsonian Report, considère que les dolichocéphales primitifs d’Amérique ont une parenté très rapprochée avec les Guanches des îles Canaries et avec les peuplades des côtes atlantiques de l’Afrique, que Latahm a désignée sous le nom d’Atlantide égyptienne. La même forme de crâne se retrouve sur la côte africaine, aux îles Canaries et sur les côtes d’Amérique, dans les Caraïbes, tandis que la couleur de la peau chez ces peuplades est d’un brun tirant sur le rouge.
Les anciens Égyptiens se dépeignaient eux-mêmes comme des hommes rouges, au teint semblable à celui que l’on rencontre encore aujourd’hui dans certaines tribus des Indiens d’Amérique.
« Les anciens Péruviens, dit Schort, à en juger d’après de nombreux spécimens de chevelures trouvés dans les tombeaux, devaient être une race aux cheveux châtain clair. »
Un fait remarquable concernant les Indiens d’Amérique, et qui est pour les ethnologues une énigme constante, c’est la grande diversité de couleur et de teint qui se rencontre parmi eux. Depuis le teint blanc des tribus du Menominee, du Dakota, du Mandan et de Zuni, dont la plupart ont les cheveux châtain clair et les yeux bleus, jusqu’au teint foncé, presque noir, des Karos du Kansas et des tribus aujourd’hui éteintes de Californie, les races indiennes représentent toutes les nuances : les tons rouge brun, cuivré, olivâtre, jaune clair et bronze (Voyez : North Americans of Antiquity, de Short ; Pre-Adamites, de Winchell ; Indians of North America, de Catlin ; voyez aussi Atlantis, par Ignace Donnelly, qui a recueilli beaucoup de documents sur ce point et sur d’autres). Nous verrons peu à peu comment la variété du teint qui se rencontre sur le continent américain est expliquée par la couleur de la race primitive qui habitait la terre Atlantide – mère des autres.
Quatrièmement. – Rien ne paraît avoir autant surpris les aventuriers espagnols au Mexique et au Pérou que la ressemblance extraordinaire des croyances religieuses, des rites, des emblèmes de l’ancien monde avec ceux qu’ils trouvèrent établis dans le nouveau. Les prêtres espagnols considéraient cette ressemblance comme l’œuvre du démon. Le culte de la croix chez les indigènes et la présence de cet emblème dans les édifices religieux et dans les cérémonies était pour eux un sujet d’étonnement ; et, en effet, nulle part – pas même aux Indes ni en Égypte – ce symbole n’était tenu en une plus profonde vénération que parmi les tribus primitives du continent américain, tandis que le sens caché sur lequel reposait le culte qui lui était rendu était le même. En Occident comme en Orient, la croix était le symbole de la vie – quelquefois de la vie physique, le plus souvent de la vie éternelle.
De même dans les deux hémisphères, le culte du disque solaire ou du cercle et celui du serpent étaient universels ; et ce qui est plus surprenant encore, c’est la ressemblance du mot qui signifie dieu dans les langues principales de l’Est et de l’Ouest. Comparez en effet le sanscrit Dyaus ou Dyaus Pitar, le grec Theos et Zeus, le latin Deus et Jupiter, le celtique Dia et Ta, prononcez Thyah (qui semble présenter une affinité avec le mot égyptien Tau), l’hébreu Jah ou Yah et enfin le mexicain Téo ou Zéo.
Les cérémonies du baptême étaient pratiquées par toutes les nations. À Babylone et en Égypte, les candidats à l’initiation aux mystères, étaient d’abord baptisés : Tertullien, dans son ouvrage De Baptismo, dit qu’on leur promettait en retour la « régénération et le pardon de tous leurs parjures ». Les nations scandinaves faisaient baptiser les nouveau-nés ; si nous nous reportons au Mexique et au Pérou, nous trouvons que le baptême des enfants y était considéré comme une cérémonie solennelle, qui consistait dans l’aspersion, le signe de la croix et les prières pour laver des péchés. (Voyez Humboldt, Mexican Researches, et Mexico, de Prescott.) Les tribus du Mexique, de l’Amérique centrale et du Pérou pratiquent encore, comme les nations de l’ancien monde, la confession, l’absolution, le carême et le mariage devant le prêtre. Ils avaient même une cérémonie semblable à celle de la communion et dans laquelle on mangeait des pains marqués du « Tau » (une forme égyptienne de la croix) ; et les peuples appelaient ces pains la chair de leur Dieu. Ceci ressemble exactement aux gâteaux sacrés de l’Égypte et des autres contrées orientales. De même que ces nations, les habitants du nouveau monde avaient encore des ordres monastiques d’hommes et de femmes, dans lesquels on punissait de mort ceux qui rompaient leurs vœux. Comme les Égyptiens, ils embaumaient leurs morts, adoraient le soleil, la lune et les planètes ; mais, au-dessus de tout, ils adoraient une divinité « omniprésente, qui savait tout… invisible, incorporelle, un seul Dieu de toute perfection ! » (Voyez Sahagun, Historia de Nueva Espana, lib. VI.)
Eux aussi avaient leur divinité, la vierge mère, « Notre-Dame », dont le fils, le « Seigneur de la Lumière », était désigné par le nom de « Sauveur » ; il y a là un rapport étroit avec les cultes d’Isis, de Beltis et des autres vierges adorées en Orient, ainsi que leur divin fils.
Les rites qui caractérisaient chez ces peuples le culte du soleil et celui du feu, ressemblent aux rites des Celtes primitifs de la Bretagne et de l’Irlande ; et comme ces derniers, ils prétendaient être « les enfants du Soleil ».
L’arche ou argha est l’un des universels symboles sacrés que nous retrouvons également aux Indes, en Chaldée, en Assyrie, en Égypte, en Grèce et parmi les peuples celtiques. Lord Kingsborough, dans ses Antiquités mexicaines (vol. VIII, p. 250), dit : « De même que chez les Juifs l’arche était une sorte de temple portatif dans lequel la divinité était supposée habiter constamment, de même parmi les Mexicains, les Cherokees et les Indiens de Michoacán et du Honduras, l’arche était un objet de haute vénération et considéré comme trop sacré pour être touché par d’autres que par des prêtres. »
En ce qui concerne l’architecture religieuse, nous trouvons que, des deux côtés de l’Atlantique, l’un des plus anciens monuments sacrés est la pyramide.
Quelque douteux que nous apparaisse le but pour lequel ces constructions furent élevées, une chose demeure certaine, c’est qu’elles étaient intimement liées à quelque idée ou quelque groupe d’idées religieuses.
L’identité de forme dans les pyramides d’Égypte et dans celles du Mexique et de l’Amérique centrale est trop frappante pour être une simple coïncidence.
Il est vrai que la plupart des pyramides américaines sont des pyramides tronquées ou aplaties ; cependant, selon Bancroft et d’autres auteurs, beaucoup de celles qu’on trouve au Yucatan, et notamment celles qu’on rencontre près de Palenque, se terminent en pointe à la manière égyptienne, tandis que d’un autre côté nous trouvons des pyramides égyptiennes du type plat et tronqué.
Cholula a été comparé aux groupes du Dachour, du Sakkarah et à la pyramide de Meidoun. Semblables dans leur orientation, leur structure, et même dans leurs galeries et leurs chambres intérieures, ces monuments mystérieux de l’Est et de l’Ouest témoignent de quelque source commune où ceux qui les élevèrent empruntèrent l’idée de leurs plans.
Les vestiges imposants des cités et des temples du Mexique et du Yucatan ressemblent aussi étrangement à ceux de l’Égypte ; les ruines de Teotihuacan ont été même fréquemment comparées à celles de Karnak.
La « fausse voûte », c’est-à-dire une couche de pierres horizontales, dont chacune dépasse légèrement la précédente, est la même dans l’Amérique centrale, dans les plus anciennes constructions de la Grèce et dans les ruines étrusques. Les architectes des deux continents, ceux de l’Est et ceux de l’Ouest élevaient des tumuli semblables au-dessus de leurs morts et déposaient les corps dans des tombeaux de pierre tout à fait pareils.
Les deux continents ont leurs grands remparts circulaires ; comparez ceux d’Adams C°, Ohio, avec le beau rempart circulaire découvert en Argyleshire ou bien le spécimen moins parfait à Avebury dans le Wilts. La sculpture et les décorations des temples de l’Amérique, de l’Égypte et des Indes ont beaucoup de ressemblance tandis que quelques-unes des décorations murales sont tout à fait identiques.
Cinquièmement. – Il ne reste plus maintenant qu’à résumer quelques-uns des témoignages provenant des auteurs anciens, des traditions relatives à une race primitive, des légendes anciennes concernant les déluges.
Aelian, dans son ouvrage Varia Historia (lib. III, ch. XVIII), dit que Théopompus rapporte une entrevue entre le roi de Phrygie et Silène, dans laquelle ce dernier mentionnait l’existence d’un grand continent situé au delà de l’Atlantique et plus grand que l’Asie, l’Europe et la Lybie réunies.
Proclus cite un extrait d’un ancien auteur qui parle d’îles existant au delà des Colonnes d’Hercule (le détroit de Gibraltar) et dont les habitants tenaient de leurs ancêtres une tradition concernant une très grande île nommée Atlantis, laquelle pendant longtemps aurait étendu sa domination sur toutes les îles de l’océan Atlantique. Marcellus parle de sept îles situées dans l’Atlantique et affirme que leurs habitants ont conservé le souvenir d’une île beaucoup plus grande, l’Atlantide, « qui pendant de longues années a exercé sa domination sur les îles plus petites ».
Diodore de Sicile raconte que les Phéniciens ont découvert « une grande île située dans l’océan Atlantique au delà des Colonnes d’Hercule, et à laquelle ils parvinrent, après quelques jours de voyage, à partir des côtes d’Afrique ».
Mais la plus grande autorité dans cette question est Platon. Dans son Timée il mentionne le continent isolé ; enfin le Critias ou l’Atlanticus n’est pas autre chose qu’un compte rendu détaillé de l’histoire, des mœurs et des coutumes du peuple qui l’habitait. Dans le Timée il parle d’une énorme puissance guerrière qui, des rivages de l’Atlantique, se serait précipitée sur l’Europe entière et sur l’Asie, car dans ces temps-là l’océan Atlantique était navigable et il y avait une île à l’entrée du détroit, qu’on désigne aujourd’hui sous le nom de Colonnes d’Hercule. Mais cette île était plus grande que la Lybie et l’Asie tout ensemble et facilitait le passage vers les îles voisines ; de même qu’il était facile de passer de ces îles sur les autres continents qui confinaient à l’Atlantique. Les témoignages du Critias ont une si grande valeur que le choix en est difficile, cependant nous citons l’extrait suivant, car il se rapporte aux ressources matérielles du pays : « Ils étaient également pourvus de tout ce qui, dans une ville, est considéré comme nécessaire et utile aux exigences de la vie. À la vérité ils étaient approvisionnés de beaucoup de choses par les contrées étrangères, car leur empire était très vaste ; cependant leur île leur fournissait la plupart des objets dont ils avaient besoin, comme les minerais à l’état solide ou à l’état liquide, l’orichalque connu seulement de nom aujourd’hui, mais qui était alors très renommé. On le trouvait dans la terre en beaucoup d’endroits de l’île et on le considérait comme un des métaux les plus précieux, à l’exception de l’or. L’île produisait aussi en abondance tout ce que les forêts peuvent fournir en fait de bois de construction. Il y avait encore d’abondants pâturages pour les animaux domestiques et pour les animaux sauvages ; les éléphants se trouvaient dans cette île en nombre prodigieux. Les pâturages nourrissaient toute espèce d’animaux, ceux qui habitent les lacs et les rivières aussi bien que ceux qui vivent dans les montagnes ou dans les plaines. Il y avait également des aliments suffisants pour les animaux les plus grands et les plus voraces. Cette île produisait aussi en abondance tout ce que la terre fournit à présent d’espèces odoriférantes, telles que : des racines, des herbes, du bois, des sucs, des résines, des fruits et des fleurs. »
Les Gaulois possédaient des traditions sur l’Atlantide recueillies par l’historien romain Timagènes, qui vivait au Ier siècle avant l’ère chrétienne. Trois races distinctes habitaient probablement la Gaule. D’abord, la population indigène (descendant sans doute de la race Lémurienne), secondement les envahisseurs venus des îles éloignées de l’Atlantide, et troisièmement les Gaulois aryens (V. Pre-Adamites, p. 380).
Les Toltèques du Mexique faisaient remonter leurs traditions jusqu’à un pays qu’ils appelaient Atlan ou Aztlan ; les Aztèques prétendaient aussi être venus d’Aztlan (V. les Races natives, de Bancroft, vol. V, pp. 221 et 321).
Le Popul Vuh (p. 294) parle d’un voyage que les trois fils du roi des Qniches auraient fait dans une contrée d’Orient sur les côtes de la mer, d’où leurs ancêtres étaient venus ; ils avaient rapporté de ce voyage, entre autres choses, un « système d’écriture » (V. Bancroft, vol. V, p. 553).
Parmi les Indiens de l’Amérique du Nord il existe une légende très répandue, d’après laquelle leurs ancêtres seraient venus d’une contrée située vers « le soleil levant ». Les Indiens d’Iowa et de Dakota, selon le major Lind, croyaient que toutes les tribus indiennes ne formaient jadis qu’une seule tribu habitant ensemble une seule et même île… « vers le soleil levant ». C’est de là qu’ils avaient traversé l’océan « sur des esquifs étranges sur lesquels les anciens Dakotas naviguèrent des semaines entières et gagnèrent enfin la terre ferme ».
Des documents retrouvés dans l’Amérique centrale affirment que le continent américain s’étendait très loin dans l’océan Atlantique et que cette contrée fut détruite par une série de catastrophes effroyables séparées par de longs intervalles. Trois d’entre elles sont souvent mentionnées (V. Ancient America, de Baldwin).
Une légende répandue parmi les Celtes de Bretagne, et d’après laquelle une partie de leur pays se serait autrefois étendue au loin dans l’Atlantique, vient corroborer encore cette hypothèse. Les traditions du pays de Galles mentionnent trois grandes catastrophes.
La divinité mexicaine « Quetzalcóatl » serait venue « d’une contrée d’Orient très éloignée ». Elle est représentée comme un homme blanc avec une grande barbe. (N. B.) – Les Indiens du Nord et du Sud n’ont point de barbe. Elle aurait inventé les lettres et réglé le calendrier mexicain. Après avoir enseigné aux Mexicains les arts et les métiers pacifiques, cet envoyé divin s’embarqua pour l’Orient dans un canot fait de peau de serpents (V. Short, North Americans of Antiquity, pp. 268-271).
On raconte la même chose de Zamna, le fondateur de la civilisation au Yucatan.
Il reste à examiner maintenant l’uniformité merveilleuse des légendes concernant le déluge et qui se retrouvent dans toutes les parties du globe.
Ne cherchons pas pour l’instant à savoir si ces légendes sont les antiques vestiges de l’histoire, concernant la disparition de l’Atlantide, ou si elles sont plutôt l’écho d’une profonde parabole enseignée autrefois dans quelque centre d’initiation ; considérons seulement l’accueil général et universel que ces légendes ont trouvé dans les esprits.
Il est inutile d’examiner l’une après l’autre toutes ces histoires de déluge. Il suffit de constater qu’aux Indes, en Chaldée, à Babylone, en Médie, en Grèce, en Scandinavie, en Chine, parmi les Juifs comme parmi les tribus celtiques de la Bretagne, cette légende est absolument identique dans toutes ses parties essentielles. Si l’on interroge l’Occident, que trouve-t-on ? La même histoire conservée dans tous ses détails parmi les Mexicains (chaque tribu ayant naturellement une version particulière), les habitants du Guatemala, du Honduras et du Pérou, et dans presque toutes les tribus des Indiens du Nord de l’Amérique.
Il est puéril de supposer que des ressemblances aussi fondamentales puissent être expliquées par le fait d’une simple coïncidence.
Les lignes suivantes, empruntées à la traduction que Le Plongeon a faite du fameux M. S. Troano, conservé dans le British Museum, pourront servir de conclusion à cette question. Le M. S. Troano paraît avoir été écrit il y a environ trois mille cinq cents ans, chez les Mayas du Yucatan ; il donne la description suivante de la catastrophe qui a submergé l’île de Poseïdon :
« En l’année 6 du kan, le 11 muluc, dans le mois de zac, de terribles tremblements de terre se produisirent et continuèrent sans interruption jusqu’au 13 chuen. La contrée des collines d’argile, le pays de Mu fut sacrifié. Après avoir été ébranlé à deux reprises, il disparut subitement pendant la nuit ; le sol étant continuellement soulevé par des forces volcaniques, qui le faisaient s’élever et s’abaisser en maints endroits, jusqu’à ce qu’il cédât ; les contrées furent alors séparées les unes des autres, puis dispersées ; n’ayant pu résister à ces terribles convulsions, elles s’enfoncèrent entraînant avec elles 64.000.000 d’habitants. Ceci se passait huit mille soixante ans avant la composition de ce livre. »
Mais nous avons maintenant consacré assez de place à l’exposition de ces fragments de preuve – plus ou moins convaincantes – que le monde possède jusqu’à présent.
Les personnes désireuses de poursuivre des recherches sur ce sujet devront se reporter aux différents ouvrages mentionnés ou cités plus haut.
À présent nous devons traiter le sujet en lui-même. Les faits recueillis dans cet ouvrage sont empruntés à des documents contemporains qui se sont accumulés et transmis à travers les âges et ne reposent aucunement sur des suppositions ou des conjectures. L’auteur a pu ne pas comprendre complètement les faits et par là même il les a peut-être parfois inexactement rapportés ; mais les sources originales sont ouvertes aux personnes compétentes ; et celles qui désirent se soumettre à la discipline nécessaire peuvent obtenir le pouvoir de contrôler et de vérifier.
Même si tous les clichés occultes enregistrés étaient ouverts à notre investigation, on comprendrait combien succincte serait forcément une esquisse qui chercherait à résumer dans quelques pages l’histoire des races et des nations, comprenant pour le moins plusieurs centaines de mille ans. Cependant quelques détails à ce sujet – bien qu’ils soient souvent décousus – paraîtront nouveaux et par là même intéressants pour le monde en général.

L'universalité des Dieux de par le monde

"De même dans les deux hémisphères, le culte du disque solaire ou du cercle et celui du serpent étaient universels ; et ce qui est plus surprenant encore, c’est la ressemblance du mot qui signifie dieu dans les langues principales de l’Est et de l’Ouest. Comparez en effet le sanscrit Dyaus ou Dyaus Pitar, le grec Theos et Zeus, le latin Deus et Jupiter, le celtique Dia et Ta, prononcez Thyah (qui semble présenter une affinité avec le mot égyptien Tau), l’hébreu Jah ou Yah et enfin le mexicain Téo ou Zéo.
Les cérémonies du baptême étaient pratiquées par toutes les nations. À Babylone et en Égypte, les candidats à l’initiation aux mystères, étaient d’abord baptisés : Tertullien, dans son ouvrage De Baptismo, dit qu’on leur promettait en retour la « régénération et le pardon de tous leurs parjures ». Les nations scandinaves faisaient baptiser les nouveau-nés ; si nous nous reportons au Mexique et au Pérou, nous trouvons que le baptême des enfants y était considéré comme une cérémonie solennelle, qui consistait dans l’aspersion, le signe de la croix et les prières pour laver des péchés. (Voyez Humboldt, Mexican Researches, et Mexico, de Prescott.) Les tribus du Mexique, de l’Amérique centrale et du Pérou pratiquent encore, comme les nations de l’ancien monde, la confession, l’absolution, le carême et le mariage devant le prêtre. Ils avaient même une cérémonie semblable à celle de la communion et dans laquelle on mangeait des pains marqués du « Tau » (une forme égyptienne de la croix) ; et les peuples appelaient ces pains la chair de leur Dieu. Ceci ressemble exactement aux gâteaux sacrés de l’Égypte et des autres contrées orientales. De même que ces nations, les habitants du nouveau monde avaient encore des ordres monastiques d’hommes et de femmes, dans lesquels on punissait de mort ceux qui rompaient leurs vœux. Comme les Égyptiens, ils embaumaient leurs morts, adoraient le soleil, la lune et les planètes ; mais, au-dessus de tout, ils adoraient une divinité « omniprésente, qui savait tout… invisible, incorporelle, un seul Dieu de toute perfection ! » (Voyez Sahagun, Historia de Nueva Espana, lib. VI.)
Eux aussi avaient leur divinité, la vierge mère, « Notre-Dame », dont le fils, le « Seigneur de la Lumière », était désigné par le nom de « Sauveur » ; il y a là un rapport étroit avec les cultes d’Isis, de Beltis et des autres vierges adorées en Orient, ainsi que leur divin fils.
Les rites qui caractérisaient chez ces peuples le culte du soleil et celui du feu, ressemblent aux rites des Celtes primitifs de la Bretagne et de l’Irlande ; et comme ces derniers, ils prétendaient être « les enfants du Soleil ».
L’arche ou argha est l’un des universels symboles sacrés que nous retrouvons également aux Indes, en Chaldée, en Assyrie, en Égypte, en Grèce et parmi les peuples celtiques. Lord Kingsborough, dans ses Antiquités mexicaines (vol. VIII, p. 250), dit : « De même que chez les Juifs l’arche était une sorte de temple portatif dans lequel la divinité était supposée habiter constamment, de même parmi les Mexicains, les Cherokees et les Indiens de Michoacán et du Honduras, l’arche était un objet de haute vénération et considéré comme trop sacré pour être touché par d’autres que par des prêtres. »
En ce qui concerne l’architecture religieuse, nous trouvons que, des deux côtés de l’Atlantique, l’un des plus anciens monuments sacrés est la pyramide.
Quelque douteux que nous apparaisse le but pour lequel ces constructions furent élevées, une chose demeure certaine, c’est qu’elles étaient intimement liées à quelque idée ou quelque groupe d’idées religieuses."

Le livre d'Iram

NOTES SUR LE LIVRE : « LA CLE D’HIRAM »
aux éditions Dervy
de Chistopher Knight et Robert Lomas
Voici la liste des grands points abordés dans cet ouvrage :
Egyptiens..........................................................................................................................................2
Thoth................................................................................................................................................3
Apophis............................................................................................................................................3
Hiram abif........................................................................................................................................3
La Bible............................................................................................................................................4
Moïse................................................................................................................................................4
Yahvé...............................................................................................................................................5
Naasenes...........................................................................................................................................5
Le temple du roi Salomon................................................................................................................6
Jésus Crist........................................................................................................................................7
Les symboles....................................................................................................................................9
Le code et les écritures.....................................................................................................................9
Christianisme.................................................................................................................................10
L’Eglise catholique romaine..........................................................................................................10
Jacques de Molay (1243-1314) et les templiers.............................................................................11
la Franc-maçonnerie.......................................................................................................................12
Amérique........................................................................................................................................13
La prise de notes n’a pas été réalisée de manière linéaire. C’est une compilation des grandes idées de l’ouvrage que j’ai réunies en fonction de l’intérêt que j’y portais.
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EGYPTIENS
Le fait que les égyptiens utilisèrent des esclaves hébreux pour construire les pyramides est un non sens, d’autant plus qu’il n’existait pas d’hébreux à cette époque précoce.
Les égyptiens croyaient que la matière avait toujours existé. Pour eux, il était illogique d’imaginer un Dieu créant quoique ce soit à partir de rien, totalement ex nihilo. Dans leur conception, le monde avait commencé quand l’ordre avait surgi du chaos (nun) , amené par un dieu qui avait toujours été.
Ce pouvoir latent qui se trouvait dans la substance du chaos ignorait qu’il existait ; c’était une probabilité, un potentiel qui était emmêlé dans ce chaos de désordre.
Dans Héliopolis, et Hermopolis, l’esprit qui avait donné l’étincelle de vie amenant l’ordre était le Dieu soleil Rê (Râ). Dans la grande ville de Memphis, il était identifié sous le nom de Ptah, le dieu de la terre. L’histoire du dieu Osiris nous raconte comment le cycle des dieux et de leurs fils commença. La déesse du ciel Nut avait 5 enfants, l’aîné Osiris était simultanément homme et dieu ; il épousa sa soeur Isis. Aidé par son bras droit Thoth, il gouverna le pays sagement et le peuple prospéra. Cependant, son frère Seth était jaloux de son succès et l’assassina mettant son corps en pièces qu’il jeta à différents endroits du Nil. Isis devint folle de douleur et de colère d’autant qu’elle n’avait pas donné d’héritier à Osiris et que de ce fait, le forfait de Seth allait donner à ce dernier le droit de régner. Isis localisa les morceaux du corps d’Osiris et les récupéra puis magiquement, elle les rassembla et insuffla un ultime et bref instant de vie dans Osiris, elle laissa le Phallus du dieu la pénétrer et la semence d’Osiris se répandit en elle. La déesse donna naissance à un fils, Horus, qui défia l’assassin de son père en duel et lui coupa les testicules en perdant lui même un oeil, ce fut le premier roi d’Egypte. Depuis lors, chaque pharaon est considéré comme le dieu Horus lui même. Quand ce dernier mourrait, il devenait Osiris et son fils immédiatement Horus.
Les égyptiens empruntèrent certainement une bonne partie de leur théologie et de leur technologie aux bâtisseurs des cités de Sumer. La sécurité de tout l’état dépend du fait que les 2 royaumes (basse et haute Egypte) oeuvrent de concert. Cette coopération fut symbolisée par 2 colonnes, l’une au Nord et l’autre au Sud, réunies par un linteau céleste formant une porte qui faisait face au soleil levant. Ce puissant concept de force par l’unité de 2 colonnes est encore un thème central du rituel maçonnique. Le concept de Ma’at signifiant rectitude, vérité et justice à l’intérieur d’une représentation symétrique, nivelée et ordonnée réunit les principes suivis par les Francs-maçons.
A la fin de l’âge de bronze moyen (fin du 3ème millénaire avant J.C.), l’Egypte est entrée dans une période de déclin continuel : gouvernement faible, crise sociale…. Arrivant du désert, des étrangers se répandaient dans tout le pays. Le vol devenait une pratique ordinaire. Le style de vie ouvert et détendu des égyptiens laissait la place à la méfiance et à une tendance à ne compter que sur soi, pour sa propre sécurité au lieu de faire confiance à l’Etat. Les Hyksos ne signifiaient pas « rois pasteurs ». Ce mot provient de l’égyptien « Hikau Khoswet » signifiant simplement princes du désert. Ces derniers adoptèrent comme Dieu Seth.
Joseph, l’asiatique, vint à occuper en Egypte la plus haute fonction juste derrière le roi. On connaît bien l’histoire de Joseph, de sa vente comme esclave par ses frères jusqu’à son ascension au pouvoir et son célèbre manteau multicolore. Joseph né en 1620 avant J.C., fils de Jacob (nom découlant du
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sumérien « Ia-a-gub » signifiant pilier ou plus littéralement pierre levée1), né en 1680 avant J.C., fils d’Isaac né en 1740, fils d’Abraham qui arriva en Egypte pour la première fois en 1780 selon toute vraisemblance, Abraham devait donc être un Hyksos.
THOTH
Dieu lune égyptien ( Hermès pour les Grecs), il incarne la sagesse. Frère de Ma’at, ce dieu possède toute la connaissance secrète sur 36535 rouleaux cachés sous la voûte céleste et qui ne peuvent être découverts que par des hommes dignes qui utiliseraient une telle connaissance pour le seul bien de l’humanité. Il est remarquable que le nombre de manuscrits soit presque exactement le nombre de jours dans un siècle. Hermès (surnommé Trismégiste ou trois fois grand) récupéra la fonction de Thoth en tant qu’inventeur de l’écriture, de l’architecture, de l’arithmétique, de l’arpentage, de la géométrie, de l’astronomie, de la médecine et de la chirurgie.
APOPHIS
Le roi Hyksos Apepi était également connu sous le nom d’Apophis, le dieu serpent. Il porte d’autres noms comme Apopis, Rerek, Isfet, Apep. Dans la lutte cosmogonique, le serpent a toujours la même fonction : il est placé sur le chemin du dieu soleil. Apophis est un serpent gigantesque qui vit dans les eaux primordiales, chaque jour, il tente d’empêcher le passage de la barque solaire qui doit parcourir les heures de la nuit. Pour survivre dans le monde inférieur, l’âme du mort (Kâ) a besoin de protection. Le serpent doit être tranché et nous en avons des témoignages figurés où le chat de Ré (avatar de Bastet) tranche la tête du serpent Apophis. Le Kâ doit ainsi comprendre que Ré vient de triompher des ténèbres. Apophis est la personnification même du chaos primordial.
HIRAM ABIF
Le roi Sekenenrê livrait une grande bataille mentale avec Apophis, le roi Hyksos, il avait donc besoin de la pleine puissance du dieu soleil Amon-Ré pour lui donner la force d’être victorieux. Siégeant à Thèbes, il quittait chaque jour le palais royal de Malkata pour se rendre au temple d’Amon-Ré à l’heure du grand midi, quand le soleil était à son zénith et qu’un homme ne projetait pratiquement aucune ombre, aucune zone de ténèbres sur le sol. Lorsque le soleil était au zénith, le pouvoir de Rê atteignait son apex et celui du dieu Apophis, son point le plus bas. Les secrets du sacre royal égyptien disparurent avec Sekenenrê, l’homme que nous appelons Hiram Abif (le roi perdu). Lorsqu’on découvrit en 1881 la momie de Sekenenrê Taâ, à côté de la momie de Ramsès II plus jeune de quelques 300 ans, il était évident que ce premier avait connu une fin violente. le milieu de son front avait été enfoncé, un autre coup avait fracturé l’orbite de son oeil droit, sa pommette droite et son nez. Un 3ème avait été porté derrière son oreille gauche fracassant son
1 Quand ils écrivirent l’histoire de leur peuple, les hébreux donnèrent aux personnages clés des titres et appellations destinés à transmettre des significations spécifiques alors que les lecteurs modernes ne voient là que des noms de personnes.
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mastoïde et terminant sa course dans la première vertèbre du cou. Sekenenrê a été tué parce qu’il n’avait pas voulu révéler les secrets du sacre royal aux Hyksos, c’est tout du moins ce que l’on peut en déduire en fonction de l’histoire d’Hiram Abif.
Dans la légende maçonnique, les tueurs d’Hiram Abif sont nommés Jubelo, Jubela et Jubelum, ces deux derniers sont certainement Siméon et Levi (confère Genèse 49 :6 qui fait référence à l’assassinat d’un homme par les frères de Joseph alors qu’ils essayaient de lui arracher un secret), les frères de Joseph, l’asiatique. Jubelo quant à lui, était un jeune prêtre égyptien2. Pour le châtier, on commença par le plonger longuement dans du lait suri A la chaleur du désert, la protéine en décomposition, lui infligea bientôt des piqûres et il fut ainsi recouvert de la marque distinctive du mauvais. A moitié fou, il fut amené nu aux embaumeurs, d’un adroit coup de couteau, ses organes génitaux furent arrachés furent jeté sur le sol par Kamês, Jubelo, geignant fut alors enroulé dans les bandages de la momification et placé dans le cercueil. Il mourut en quelques minutes par suffocation. Aujourd’hui, on peut trouver sa momie au musée du Caire n° de catalogue 610-23 à coté de Sekenenrê Taâ n°610-51.
Sans aucun doute, la mort de Sekenenrê Taâ marqua la résurrection de la plus grande civilisation du monde. Mais elle marqua également la perte définitive des véritables secrets de la lignée royale d’Egypte.
LA BIBLE
Le livre de la Genèse fut transcrit pour la première fois il y a environ 2700 ans, bien après l ‘époque du roi Salomon, les étymologistes ont démontré que l’histoire du jardin d’Eden est celle de Sumer. En outre, des ville comme Ur, Larsa et Haram, mentionnées dans la genèse, se trouvaient réellement à Sumer. La preuve d’une inondation majeure, vieille de 6000 ans environ, a été trouvée autour d’Ur.
MOÏSE
Le nom Moïse (Moses ou Moshé sous forme hébraïque et Musa sous forme arabe) devrait signifier selon la Bible catholique romaine de Douai « sauvé des eaux », alors que ce terme signifie simplement en égyptien « né de ». Normalement, il réclamait un autre nom en préfixe comme dans Thoutmosis (ou Thoutmose) « né de Thot », Ramsès « né de Râ » ou Amenmosis « né d’Amen ». Pour information, MacDonald signifie « fils de Donald ». Il est possible que le nom complet de Moïse est été « né du Nil » auquel cas il se serait agi d’Hapymosis.
D’après le livre de l’Exode 1,22, le pharaon donna l’ordre de jeter dans le Nil tous les nouveaux nés israélites mâles. Il est pratiquement impossible d’imaginer qu’il s’agisse là d’un événement historique car un décret aussi barbare aurait été totalement en contradiction avec le concept de
2 Cette histoire fait étrangement penser au film la Momie sauf que 200 ans séparent les faits (1719 avant J.C.). Imhotep est inhumé à Hamunaptrâ pour avoir volé la femme de pharaon. Ceci est d’autant plus étrange qu’Ahmoseinhapi, la veuve de Sekenenrê semble avoir été momifiée par le même embaumeur que Jubelo.
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Ma’at si cher aux égyptiens. L’histoire de la naissance de Moïse a certainement été inventée à partir de celle de Sargon (3ème millénaire avant J.C.) prince sémite fondateur de la dynastie d’Akkad. Elle aurait été créée au VI ième siècle avant notre ère pour adapter à la naissance de la nation juive le vieux thème d’une création émergeant des eaux. Ce fut aussi une excellente manière d’expliquer rationnellement comment un général de l’armée égyptienne membre de la famille royale d’Egypte devient le père fondateur du peuple juif.
La lecture attentive et objective de l’histoire de l’exode est un déconcertant catalogue de pratiques de démonologie primitive, de trahisons, de meurtres de masse, de viols, de vandalisme et de vols en tous genres. L’histoire de Moïse commence par un meurtre. Un jour, il aperçoit un égyptien en train de frapper un Habiru. Après avoir regardé autour de lui, et s’être assuré que personne ne l’observait, il tua l’égyptien : c’était le premier de dizaines de milliers de meurtres dont cet ex soldat allait se rendre responsable. Devenu un homme recherché, il s’enfuit vers l’Est et le Sinaï, là il fut accueilli par les Madiânites (ou Quénites) et épousa la fille du roi Cipporha.
Moïse aurait emporté en Israël les deux piliers et la cérémonie de résurrection conjointe de Sekenenré taa et il en aurait fait le secret de la maison royale d’Israël.
L’assomption de Moïse est un texte Qumrânien qui donne instruction à la communauté de dissimuler ses manuscrits les plus précieux dans ce lieu précis.
YAHVE
Yahvé n’était pas un doux bienfaiteur, c’est un dieu de la tempête, un dieu de guerre des tribus Madiânites dont le symbole était un motif en forme de crucifix qu’ils arboraient sur leur front. Plus tard, on appela ce signe la marque de Yahvé. Si l’on prend littéralement les paroles de l’ancien testament, les Juifs et leur Dieu étaient des êtres tout à fait iniques, malfaisants. Aucune justification surnaturelle ne peut excuser le massacre d’autant d’habitants originels de Canaan qu’évoque l’ancien testament.
Craignant pour sa liberté, le dieu madiânite refusa de répondre à Moïse sur la question de son nom. En effet, pour un égyptien, connaître le nom d’une divinité c’est obtenir un pouvoir sur elle car les dieux ne sont pas toujours supérieurs aux humains. Le livre de l’exode nous dit que la réponse du dieu à la question portant sur son nom fut « ehyeh asher ehyeh », cette réponse est généralement traduite par « je suis celui que je suis » et pas « je suis celui qui est ». On comprend que cette réponse n’en est pas une. Les noms de Yahvé (Yahweh) ou Jehovah sont tous deux des descriptions hébraïques de dieu (Yhwh, la langue hébraïque n’ayant pas de voyelle). D’après la bible, Moïse retourna finalement en Egypte pour libérer de l’esclavage les communautés d’asiatiques que les égyptiens désignaient collectivement sous le nom d’Habiru. Il aurait soit disant utilisé les pouvoirs de son nouveau Djinn/Dieu de la tempête pour amener misère et mort sur les infortunés égyptiens.
NAASENES
De « Naas » qui signifie serpent en hébreu, ils formaient un courant gnostique âprement combattu par les pères de l’Eglise. Irénée et Epiphane en parlent : « Dieu accoucha du penser puis s’unit au penser et accoucha de la première femme, à savoir l’Esprit Sain. Mais de la femme s’écoula une rosée appelée Sophie qui se précipita dans les eaux et pris corps, Sophie eu un fils qui en engendra 6 autres, l’un d’eux Ialdabaoth était mauvais et c’est lui qui créa la Terre, c’est lui notre Dieu biblique
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et le serpent s’étant révolté contre lui, les naassènes lui reconnaissaient une valeur positive. Les hommes de cette secte prétendaient que leur croyance remontait à Jacques, le frère de Jésus, par Mariamne.
Le terme naassenien est une autre forme de nazôréen, le nom adopté par le fidèles originels de Jésus qui constituaient l’église de Jérusalem, il est d’ailleurs étonnant qu’on ait traduit Jésus de Nazareth à une époque où la ville de Nazareth n’existait pas encore. Le véritable qualificatif était bien évidemment Jésus le nazôréen.
LE TEMPLE DU ROI SALOMON
Les Juifs n’ayant pas de tradition architecturale, le temple de Jérusalem fut construit par des artisans empruntés à Hiram, le roi Phénicien de Tyr. Le temple ne fut pas construit pour être visité par des hommes : il était littéralement la maison de Dieu. Il fut construit en pierres mais l’intérieur était complètement recouvert de cèdre apporté de Tyr.
La caractéristique particulière du temple était la quantité d’or qui recouvrait le sol, les murs et le plafond au milieu de gravures de chérubins et de fleurs épanouies. L’intérieur faisait 60 coudées de long et 20 de large. Une paroi, formée par un double porte rideau, divisait l’intérieur en 2/3 1/3, le dernier 1/3 formait un cube de 30 pieds. C’était l’Oracle de l’ancien testament également appelé Saint des saints et connu dans le rituel maçonnique comme « le sanctum sanctorum ». Il était totalement vide à l’exception d’un coffre rectangulaire de bois de Sethim (acacia) de 4 pieds de long sur 2 pieds de large et 2 de haut, placé exactement au centre, c’était l’arche d’alliance qui ne renfermait que 3 choses : 2 tablettes de pierre portant les 10 commandements et le dieu Yahvé lui même. A son sommet, se trouvait une épaisse couche d’or et 2 chérubins de bois de style égyptien recouverts d’or avec les ailes déployées qui gardaient leur précieux contenu.
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L’histoire nous a appris qu’il avait existé 3 temples de pierre sur le site dont le premier est le temple originel construit par Salomon, un petit édifice de type Sumérien.
Salomon, vers la fin de son règne, se détourna complètement de Yahvé pour ne plus vénérer que d’autres dieux. Plus tard cette péripétie fut rationalisée après coup par les rédacteurs de la Bible : ils expliquèrent que ce comportement coupable de Salomon ne fut pas puni par Yahvé eut égard pour son père David.
JESUS CRIST
Pour comprendre la naissance du Christ, voici quelques anciennes figures considérées comme des dieux :
- Gautama Bouddha : né d’une vierge maya 600 ans avant J.C.
- Dionysos : dieu grec né d’une vierge dans une étable qui transforma l’eau en vin, antérieur à J.C.
- Quirinus : un sauveur romain primitif né d’une vierge
- Attis : né d’une vierge Nama en Phrygie en 200 avant J.C.
- Indra : né d’une vierge au Tibet vers 700 avant J.C.
- Adonis : dieu Babylonien né d’une vierge Ishtar
- Krishna : divinité indoue née d’une vierge Devaki vers 200 avant J.C.
- Zoroastre : né d’une vierge vers 1500-1200 avant J.C., forme grecque de Zarathoustra.
- Mithra : né d’une vierge dans une étable le 25 décembre vers 600 avant notre ère, sa résurrection était célébrée à Pacques. Son culte est particulièrement embarrassant pour les chrétiens qui ne souscrivent pas à la théorie du voyage de Satan dans le temps. Le Mithraïsme est une ramification Syrienne d’un culte perse plus ancien, celui de Zoroastre, celui-ci fut introduit dans le monde romain vers 67 avant J.C. sa doctrine incluait le baptême, un repas sacramentel, une croyance en l’immortalité, un Dieu sauveur qui mourrait et ressuscitait pour servir de médiateur entre l’homme et Dieu, un jugement dernier et enfin un Paradis et un Enfer.
Le titre « Christ » est une traduction grecque du titre juif de messie (messiah) auquel on donnait le sens de sauveur en dépit du fait que le terme hébreu araméen signifiait simplement « celui qui deviendra le roi légitime des juifs ». Le fait que le mot messie ne soit pas du tout utilisé dans le nouveau testament ne peut s’expliquer que d’une seule manière : les traducteurs ont utilisé le mot grec Christ (christos) partout où le mot hébreu messie apparaissait dans les textes antérieurs. Il faut insister sur le fait que les Juifs n’attendaient pas un Dieu ou un sauveur du monde, mais un chef politique avec des références remontant à leur premier roi, David.
Dans la langue de l’époque, Barabbas ( bar = fil de, abba = père ou Dieu ) est un titre signifiant fils de Dieu. L’évangile de Mathieu au verset 27,16 utilise cette désignation sous sa forme complète : jésus Barabbas. Les évangiles établissent que Jésus Barabbas était accusé d’être un rebelle Juif qui avait tué des gens au cours d’une insurrection. Ce n’était donc pas un criminel de droit commun mais un fanatique Juif. Les Musulmans d’aujourd’hui tiennent Jésus en très haute estime ; ils le voient comme un prophète condamné à être crucifié mais dont la place fut prise par un autre. Qui a donc été crucifié ? Page 7 / 13
Le Jésus de Marie prétendait être Messie parce qu’il venait de la lignée royale de David et qu’il été supposé né dans la ville de David, Bethléem. Cependant, comme on peut le lire dans les premiers versets du nouveau testament, cette ascendance est fondée sur la généalogie de Joseph, qui n’était pas le père de Jésus. S’il était le fils de Dieu, il ne pouvait être le Messie royal, mais il pouvait être le messie sacerdotal, sa mère étant connue comme parente de Jean le Baptiste qui était lévite. Il serait clair que ce ne fut pas lui qui mourut sur la croix. Le jeune frère de Jésus, Jacob (Ya’acov ou Jacques dans la version grecque) survécut à Jésus d’environ 30 ans et fut responsable de la préservation de ses enseignements authentiques.
Du fait de sa grande intelligence, Jésus savait depuis le commencement que le temps ne jouait pas en sa faveur. Il avait besoin d’accélérer la « fin des temps » et de se protéger de puissants ennemis qui avaient déjà abattu un pilier (Jean la Baptiste, son cousin). Il commença donc par désigner quelques gardes du corps attachés à sa personne en appliquant une stratégie de déplacement permanente. Ses 5 principaux gardiens étaient Jacques et Jean qu’il appelaient les fils du tonnerre, Simon le Zélote et Simon le terroriste et enfin Judas le long couteau (Sicarius). Ce n’étaient pas des hommes de paix. Dans l’évangile de Luc 22,35-38, on nous dit que Jésus demande à ses apôtres de vendre leurs vêtements pour acheter des armes et ils répondent qu’ils possèdent déjà deux glaives.
Changer l’eau en vin est une expression commune. Dans le contexte de la Bible, cela devait signifier simplement que Jésus utilisa le baptême pour transformer des individus ordinaires en personnes prêtes à pénétrer dans le royaume des cieux en vue de la fin des temps. Dans la terminologie Qumrânienne, les profanes étaient l’eau alors que les initiés et les purifiés étaient le vin.
Lazare flancha lorsque les évènements commencèrent à se durcir vers la fin de la vie de Jésus. Il expliqua à ses soeurs Marie et Marthe qu’il avait peur et qu’il allait quitter le cercle interne. Quatre jours plus tard, Jésus arriva sur les lieux, il alla trouver Lazare et le persuada d’être courageux et de revenir parmi les « vivants ». Il a été démontré que ce type d’expression, « les vivants » et « les morts », était le terminologie utilisée à l’époque de Jésus pour définir ceux qui faisaient partie du cercle de la communauté et les autres. L’aspect sectaire de cette communauté est renforcé dans Luc 14,26 où Jésus demande explicitement à ses fidèles de haïr leur famille : « Si quelqu’un vient à moi sans haïr son père, sa mère, sa femme, ses enfants, ses frères, ses soeurs et jusqu’à sa propre vie, il ne peut être mon disciple ».
Jésus était connu sous le nom de Yehoshua Ben Joseph, c’est à dire Sauveur fils de Joseph. Il faut se rappeler que le nom de Jésus que nous prêtons au messie royal n’était pas son véritable nom. Le nom hébreu de Jacques était certainement J’acov mais il pouvait également être appelé sauveur, autrement dit Jésus. Ainsi, Jacques, le frère de jésus était certainement Barabbas, fils de Dieu par opposition à Jésus roi des juifs, Yehoshua. Ce dernier fut donc déclaré coupable, fouetté, couronné d’épines et crucifié sur une croix en forme de T avec les mots « Rois des juifs » placé au dessus de sa tête. Il mourut inhabituellement vite pour une mise en croix. Mais s’il était bossu comme le signalait l’avis de recherche, cette rapidité peut s’expliquer. En effet, le processus de crucifixion rend la respiration difficile ; il est nécessaire de soulever sa poitrine continuellement pour expulser l’aire des poumons. Avec un dos voûté ou bossu, ce mouvement devenait particulièrement ardu et la suffocation devait intervenir rapidement.
Sur deux Jésus, un seul est mort – Jacques est le survivant, le fils de Dieu et de marie. Dans le sourate 4 : 156, le coran dit : « ils disent nous avons mis à mort le Messie, Jésus fils de Marie, l’apôtre de Dieu. Non ils ne l’ont pas tué, ils ne l’ont point crucifié ; un autre individu qui lui ressemblait lui fut substitué et ceux qui se disputaient à son sujet ont été eux mêmes dans le doute. »
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LES SYMBOLES
La pyramide pointée vers le haut est un ancien symbole du pouvoir royal. Celle pointée vers le bas, incarne le pouvoir du prêtre. L’étoile dite de David incarne ces deux pyramides, forme complexe où l’on retrouve la marque du double messie : le messie sacerdotal ou tsedeq et le messie royal ou mishpat. En tant que tel, c’est le véritable signe de jésus. Si on l’appelle l’étoile de David, ce n’est pas parce que David l’inventa, mais parce que Jésus l’utilisa et qu’il se positionna comme « l’étoile de David » prophétisée. Il est curieux de retrouver cette étoile sur des édifices construits par les chevaliers templiers. Si l’étoile de David est le symbole de la messianité unifiée de Jésus, elle devrait être la marque du christianisme, mais alors quel devrait être le symbole du judaïsme ? réponse : la croix ou plutôt le tau, qui est la marque de Yahvé et que les quénites portaient sur leur front avant que Moïse ne les rencontra dans le désert du Sinaï. La croix de type crucifix, utilisée par l’Eglise chrétienne est un ancien hiéroglyphe égyptien qui signifie « sauveur ». La forme du crucifix n’est pas un symbole de Jésus mais son nom lui même.
Le symbole du poisson, quant à lui, représente les pêcheurs et servait à désigner les premiers chrétiens.
Jacques le juste, qui devint le premier évêque (mebakker, en hébreu), se mit à porter une mitre comme insigne de sa charge : elle est venue d’Egypte avec Moïse. La mitre est le hiéroglyphe représentant « amen ». Est-il donc possible qu’à l’origine, il se soit agi de faire venir la bénédiction du dieu Amen sur la requête pour que celle-ci se réalise ?
LE CODE ET LES ECRITURES
Le terme « Midrash » correspond pratiquement au mot Exégèse et il peut être définit comme « l’étude et l’interprétation des écritures hébraïques dans le but de découvrir les vérités et instructions théologiques à suivre ». C’est un concept intimement lié à une technique de compréhension des événements appelée « pesher ». Celle-ci peut se traduire comme l’interprétation ou l’explication d’un verset des écritures dans lequel une formulation donnée serait censée avoir une signification concernant un événement présent ou futur. Les hébreux croyaient que les événements ne devaient rien au hasard, mais qu’ils se conformaient à des schémas types structurés pouvant être déchiffrés grâce à l’étude des écritures. Le terme parabole, quand à lui, peut se définir comme une explication imagée pouvant contenir soit une allégorie, soit une métaphore, touts les deux permettant de transmettre un enseignement plus profond dissimulé sous le récit apparent.
Dans de nombreux manuscrits, le docteur Hung Schonfield découvrit un code hébreu qu’il appela le code « atbash », utilisé pour crypter les noms d’individus. De manière stupéfiante, il s’aperçut que des mots clés utilisés tant par les templiers que par la franc-maçonnerie étaient eux-mêmes des codes atbash qui une fois déchiffrés révélaient un sens caché. Par exemple, « Baphomet », après avoir appliqué le code atbash, laisse apparaître le terme Sophia, le mot grec pour sagesse.
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CHRISTIANISME
Comment Jésus pouvait-il être Dieu tout en étant son fils ? Avec son esprit de Gentil, Constantin rationalisa le problème en expliquant qu’il y avait Dieu le père et Dieu le fils, or un père et son fils sont 2 entités distinctes. La conclusion incontournable est que le christianisme n’est pas du tout une religion monothéiste.
Les chrétiens brûlèrent et rasèrent la bibliothèque d’Alexandrie en Egypte, parce qu’elle renfermait quantité d’informations sur la véritable Eglise de Jérusalem.
Alors que le judaïsme et la plupart des autres religions se fondent sur un large corpus social et théologique, le christianisme repose entièrement sur l’idée qu’un jour, un dieu fait homme est mort sous la torture pour la rémission des péchés des hommes qui le vénéraient. On sait maintenant que l’histoire de Jésus racontée par les évangiles est dans une large mesure une fiction mise en scène pour habiller ses enseignements et les rendre plus accessibles aux lecteurs (le serment sur la montagne en est un bon exemple).
Le Bouddhisme n’a pas besoin de Gautama Bouddha pour exister, et sans Mahomet l’Islam vit quand même. Mais sans la résurrection de Jésus, le christianisme (tel qu’il se présente actuellement) n’est rien.
L’EGLISE CATHOLIQUE ROMAINE
Dans l’apocalypse de Pierre, le Christ ressuscité explique que : « Ceux qui se donnent le nom d’Evêque et de Diacre et agissent comme s’ils avaient reçu leur autorité de Dieu sont en réalité des rivières à sec. Ils ne comprennent pas le mystère et pourtant ils se vantent d’être les seuls détenteurs de la vérité. Ils ont mal interprété l’enseignement apostolique et ont fondé une imitation d’église à la place de la vraie fraternité chrétienne. » le concept de gnose (connaissance) et l’opposé du concept de foi prôné par l’Eglise.
Jésus ne fut absolument pas le fondateur de l’Eglise, on doit cette mascarade à Paul. Paul avait à son actif 17 années de chasse des juifs potentiellement rebelles (zélotes). Il ne se convertit jamais à la cause de jean le Baptiste, Jésus et jacques. Au lieu de cela, il inventa un nouveau culte auquel il donna le nom grec « chrétien » qui se voulait la traduction du mot hébreu « messie » (de christos). Il appela Jésus, un homme qu’il n’avait jamais connu, « Christ » et il commença à réunir des disciples autour de lui-même. Comme Paul n’avait aucune compréhension de la terminologie Nazôréenne, il fut le premier à prendre littéralement ce qui n’était qu’allégories dans les enseignements de Jésus et c’est ainsi qu’un patriote juif devint un dieu homme faiseur de miracles. Le christianisme actuel aurait du porter le nom de paulinisme. L’église chrétienne n’a donc rien à voir avec Jésus. Elle fut l’invention d’un étranger appelé Saül et plus tard Paul, que les manuscrits de la mer morte désignent certainement comme « le verseur de mensonges ».
L’église celtique différait largement de la version romaine en ce sens qu’elle rejetait des dogmes aussi centraux que l’immaculée conception et la divinité de Jésus. Elle a été absorbée au milieu du VII ième siècle, mais une partie aurait survécut sous forme souterraine en Ecosse.
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JACQUES DE MOLAY (1243-1314) ET LES TEMPLIERS
Dernier grand maître des templiers, Philippe le bel le fit arrêter en 1307, torturer et emprisonner. Il fut brûlé sur le bûcher en 1314 pour s’être rétracté. Nous avons peu d’éléments sur les tortures endurées par Jacques et infligées par l’inquisition, mais il semble qu’il ait subi les étapes de la crucifixion de Jésus. Le corps suant de Molay aurait été descendu de la croix et enveloppé par un tissu, son propre linceul maçonnique, les traits du corps de Molay s’étant imprimés dessus par réaction chimique : l’acide lactique produit par la souffrance, s’étant échappé librement du corps pour imprégner le linceul avait réagit au contact de l’encens utilisé comme agent blanchissant et qui était, lui riche en carbonates de calcium. En 1988, le Vatican autorise des tests scientifiques par le carbone 14 sur le linceul de Turin. Les analyses ont démontré que la matière du linceul ne pouvait être antérieure à 1260. Si on compare d’ailleurs l’image du linceul avec un portrait de Molay, la ressemblance est frappante. Notons également que les résultats des analyses furent publiées le 13 octobre, date même de l’arrestation de Molay.
La première résurgence du nationalisme écossais intervint par l’assassinat du shérif de Lanark par le noble William Wallace3 qui voulait venger le meurtre de sa femme, en mai 1297. Un affrontement où les forces d’Edouard, roi d’Angleterre furent défaites, eu lieu à Stirling Bridge le 11 septembre 1297. L’année suivante, c’est Edouard qui remporta la victoire mais Wallace parvint à s’échapper. Obtenant le soutient de la famille Moray, il entra en contact avec les templiers. Une bataille entre les écossais et les anglais fut remportée par Wallace à Roslin en 1303 avec le concours des chevaliers templiers. Toutefois trahi, il fut emmené à Londres, pendu, torturé, écartelé et démembré en 1305. Le plus grand triomphe des écossais fut la bataille de Bannockburn, le 24 juin 1314. L’affrontement tournait très nettement au désavantage de l’armée de Robert Bruce (roi d’Ecosse excommunié) jusqu’à ce qu’une force de réserve inconnue intervienne et n’inverse le cours de la bataille, assurant la victoire aux écossais. L’intervention templière semble la seule explication possible.
Pourchassés, les templiers s’étaient réfugiés en Ecosse où le Vatican ne pouvait intervenir. Dès que l’Ecosse fit de nouveau officiellement partie de la chrétienté, il devint impératif pour les templiers de se dissimuler aux regards en devenant une société secrète, dans la mesure où le Vatican pouvait poursuivre ses ennemis dans toute l’Europe.
Le lien avec la Franc-maçonnerie peut facilement se déduire de la chapelle de Rosslyn, sanctuaire post-templier construit pour abriter les manuscrits trouvés par Hugues de Payns et les siens sous le saint des saint du dernier temple de Jérusalem. Rosslyn n’est pas une libre interprétation des ruines de Jérusalem mais une copie très fidèlement exécutée.
3 « BraveHeart » avec Mel Gibson relate l’histoire de William Wallace
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LA FRANC-MAÇONNERIE
Omne ignotum pro magnifico : moins on en sait, plus on suppute. La plupart des gens ne font pas confiance à ce qu’ils ne comprennent pas. Si les membres de la Franc-maçonnerie gardent le silence, c’est simplement qu’ils ne comprennent pas grand chose des cérémonies auxquelles ils participent. L’Art Royal est le terme utilisé par les initiés pour désigner la Franc-Maçonnerie. La grande loge unie d’Angleterre déclare publiquement que le devoir d’un Franc-maçon en tant que citoyen prévaut sur toute obligation à l’endroit d’un autre Franc-Maçon. Le personnage central de la Franc-maçonnerie est l’architecte du temple du roi Salomon dont le nom est Hiram Abif.
Lors de la cérémonie de résurrection du maître maçon, les mots suivants sont murmurés : « Ma’at-neb-men-aa, Ma’at-ba-aa » ce qui signifie en égyptien « grand est la maître de Ma’at, grand est l’esprit de Ma’at », Ma’at signifiant « vérité, justice, beauté, harmonie et rectitude morale, symbolisée par la pureté des fondations parfaitement droites et carrées d’un temple » ; c’est l’art de la franc-maçonnerie. Cette phrase est une reconstitution d’après les sonorités conservées par tradition orale. En fait, il est largement admis que la meilleure manière de transmettre des idées sans distorsion se fait par l’intermédiaire de personnes qui ne comprennent pas ce qu’elles disent.
Aujourd’hui, les francs-maçons prétendent qu’ils se rencontrent toujours symboliquement à midi sous prétexte que la franc-maçonnerie est une organisation mondiale et que donc « Le soleil est toujours à son méridien au regard de la franc-maçonnerie ». La référence maçonnique à Dieu comme « le plus haut » est donc une description de Ré, le dieu soleil dans sa position suprême.
La datation « anno mundi » signifie « depuis le commencement du monde », ce qui, selon la franc-maçonnerie, correspondrait à l’année 4000 avant notre ère, autrement dit, l’époque où la civilisation sumérienne serait sortie apparemment de nulle part.
La Franc-maçonnerie requiert des candidats qui soient sains de corps et d’esprit et tout handicap physique est supposé empêcher l’admission.
Dans la littérature maçonnique, on connaît de vieux rituels évoquant la tentative de Sem, Japhet et Ham pour ressusciter Noé. Il y a également un haut grade maçonnique (le degré noachite ou ark mariners) qui continue cette tradition des secrets de Noé.
Aujourd’hui, la Franc-maçonnerie est constituée de près de 100.000 entités particulières appelées loges, chacune d’elles étant présidée par un Vénérable maître et tout un ensemble d’officiers qui sont autorisés à diriger des cérémonies d’initiation et d’avancement.
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AMERIQUE
Les esséniens croyaient que les bonnes âmes habitaient au delà de l’océan, sur une terre marquée par une étoile dont les nom est « Merica ». Les Etats-Unis d’Amérique furent crées par des Francs-maçons et leur constitution, fondée sur des principes maçonniques. Les voiles des 3 caravelles de Christophe Colomb étaient ornées de la croix pattée des templiers
On croit communément que le continent américain fut baptisé d’après le nom chrétien d’Amerigo Vespucci, un riche armateur de Séville, or celui-ci ne fit pas voile vers le nouveau monde avant 1499. Waldseemüller, un ecclésiaste de Saint-Déodat dans les Vosges, imprima un livre avec une carte géante où le nom du continent fut indiqué sous l’appellation d’America. Il est depuis considéré comme l’inventeur du nom car il s’agit de la première référence imprimée. L’explication qu’il en donna se rapportait à d’Amerigo Vespucci, mais par la suite, il réalisa sa grande erreur et se rétracta publiquement. C’est un exemple classique d’Histoire qui ment.
En 1792, Washington posa la pierre de fondation de la maison blanche, le 13 octobre, l’anniversaire de la crucifixion de Jacques de Molay. Ces années là, le dollar fut adopté comme unité monétaire des Etats-Unis d’Amérique. Le S fut emprunté à une vieille pièce de monnaie espagnole, mais les deux barres verticales étaient les deux piliers Nazoréens de Mishpat et Tsedeq mieux connus des maçons fondateurs des Etats-Unis sous le nom de « Boaz » et « Jakin », les piliers du porche du temple du roi Salomon. Aujourd’hui, les billets américains portent l’image d’une pyramide avec un oeil à l’intérieur, ce motif représente Dieu sous la forme d’Amon-Ré.
Il semble que les templiers aient gagné le continent américain bien avant 1492. De nombreuses expertises4 ont démontré que les mines d'argent du Mexique ont été exploitées bien avant Colomb. Et comme les indiens n'en faisaient rien, c'est forcément quelqu'un d'autre. L'importance de leur port de La Rochelle confirme encore cette hypothèse.
il existait à l'époque de Colomb un ordre militaire issu des Templiers, les Chevaliers de Christ et il se trouve qu'un des Grand-maître de l'ordre était l'oncle de Colomb. A partir de là, on peut expliquer bon nombre de faits :
1. La croix templière sur les voiles des caravelles
2. Le fait que Colomb s'enfermât dans sa cabine pendant le voyage, tenant ses cartes secrètes
3. L'anecdote de la mutinerie lorsque les hommes révoltés voulurent pendre Colomb qui demanda un délai de 8 jours, la terre fut en vue le huitième jour...
On peut donc supposer que Colomb, héritier des secrets templiers par l'intermédiaire des Chevaliers du Christ se dirigea vers l'Amérique suivant un itinéraire précis connu jadis des Templiers. Seulement, une seule ombre au tableau, Colomb croyait arriver en Inde...
Remarquons toutefois que les Egyptiens contemporains à Salomon et même bien après J.C. ont consommé de la Cocaïne, plante qui n’a toujours poussé qu’en Amérique.
Il nous faut garder présent à l'esprit que Platon parlait déjà en son temps de ce continent. Une lecture attentive démontre que pour lui l'Atlantide n'était qu'une île permettant le passage vers un vaste continent.
4 Voir livre de Mahieu "Les Templiers en Amerique"
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samedi 3 décembre 2011

Liens pour comprendre la dette

Liens pour comprendre et alimenter le débat
Tiré du site http://stopbanque.blogspot.com/p/liens-pour-comprendre-et-alimenter-le.html





"Les conditions nouvelles qui entraîneront en gros l'apparition d'hommes tous pareils et pareillement médiocres sont éminemment propres à donner naissance à des hommes d'exception du genre le plus dangereux et le plus séduisant " Friedrich Nietzsche


AVERTISSEMENTS:

TOUS LES LIENS SUIVANTS NE SONT PAS REPRIS COMME  ÉTANT LA VÉRITÉ ET SONT SUJET A CONTRADICTIONS. CECI DIT, POUR  COMPRENDRE UNE SITUATION DANS SON ENSEMBLE NOUS DEVONS FAIRE CONFIANCE A  UNE LIBERTÉ D'EXPRESSION TOTALE, AU VOIX DISSIDENTES ET A L'INTELLIGENCE COLLECTIVE DES CITOYENS. LE DÉBAT SUR L'EFFONDREMENT ÉCONOMIQUE: SES CAUSES ET SES CONSÉQUENCES, ÉTANT NOUS PENSONS TROP COMPLEXE POUR FAIRE L'ÉCONOMIE DE SOURCES  DISSIDENTES SUR LE SUJET. CES LIENS REFLÈTENT UNE BASE DE QUESTIONNEMENT, DE RÉFLEXION, DE CHOIX ALTERNATIF, DE SOURCES ET RÉFÉRENCES DISSIDENTES. C'EST AUSSI UNE BASE D'INTRODUCTION, DE VULGARISATION ET DE PÉDAGOGIE: AVEC CETTE IDÉE D'ÉQUITÉ ET D’ÉMANCIPATION EN TOILE DE FOND, D'UNE VOLONTÉ DE "FAIRE" LES LIENS, SANS TABOUS, POUR COMPRENDRE L'ACTUALITÉ. NOUS VOUS CONSEILLONS DE VOUS RENSEIGNER, DE CREUSER D'AVANTAGE ET DE VÉRIFIER TOUT PAR VOUS MÊME. ET AJOUTONS QUE LA LECTURE ET LA BIBLIOTHÈQUE SONT TOUTES SPÉCIALEMENT CONSEILLÉES PAR LE COLLECTIF ET RESTE LA BASE DE TOUTE ÉTUDE SÉRIEUSE.

( quelques personnalités politiques citent depuis quelques temps la lois de 1973 "Pompidou/Rothschild/Giscard", nous avons décidé de ne pas relayer de messages directes de présidentiables et pensons que ce besoin de critique soudain est électoral...)



Le Bankrun du 7 Décembre 2010 en vidéos:








-Pierre Jovanovic et Yann Sarfati contre la Banque chez Taddéï





SURVIVRE A L'EFFONDREMENT:

Dimitri Orlov, survivre à l'effondrement

Entrevue avec Piero San Giorgio, auteur de "Survivre à l'effondrement économique"  

« Survivre en ville quand tout s’arrête », Jade Alègre

Michel Drac : "Crise, le moment décisif approche" (1/2)





Argent Dette, Dette Racket:

-L'Argent Dette 2 : Promesses Chimériques

-Cori, Delaigue, Gunthert, dissèquent "l'argent dette"

-Bankster.tv solde les comptes avec les médias


-La dette publique pour les nuls ½ et 2/2













Michel Drac:

Entrevue avec Michel Drac-Comprendre le nouvel ordre mondial


Ligne économique

Crise ou coup d'état?

Entretien Avec Michel Drac

Faut-il moraliser le Capitalisme?

Crise économique ou crise de sens?
Choc et Simulacre

La question raciale



Divers:

End Game (Alex Jones)

Le Jeu de l'Argent


Lien vers Dossier Argentine et Cut-up



Conférence "Manifiesta": ( EXCLU STOPBANQUE, avec  Aleida Guevara et Michel Collon )



FALL OF THE REPUBLIC



Invisible Empire


Obama Deception



End of Liberty



America Freedom to fascism



Krachs : Une histoire des crises boursières (2009) 1/5


The Best Enemies Money can buy 1/6 (Vostfr)

Glenn Beck : George Soros, dollar, inflation



Radio "ici et maintenant", La Revue de presse de Pierre Jovanovic:


Soirée spéciale "Blythe Masters"


Archives de la revue de presse!

 

...15 décembre 2010, évocation du bankrun du 7 Décembre et du passage chez Taddéï,

revue de presse du 1er décembre, à partir de 49min. évocation Bankrun,

revue de presse du 24 novembre avec Max Keiser, à écouter! à partir de 29min. évocation Bankrun,

revue de presse du 10 novembre, à écouter...

quelques extraits vidéos de la revue de presse:

http://www.dailymotion.com/video/xfm54a_la-magouille-de-l-annee-aux-usa_news
http://www.dailymotion.com/video/xffk8p_les-banquiers-deviennent-collecteurs-d-impots_news
http://www.dailymotion.com/video/xffk0x_l-explosion-du-systeme-approche-oct-2010_news
http://www.dailymotion.com/video/xffjvf_quand-les-banquiers-decident-a-votre-place_news
http://www.dailymotion.com/video/xffaoq_escroqueries-bancaires-aux-usa-2010_news
http://www.dailymotion.com/video/xf7uxf_jovanovic-banquiers-et-assureurs-de_webcam
http://www.dailymotion.com/video/xf7uvq_jovanovic-banquiers-et-assureurs-de_webcam
http://www.dailymotion.com/video/xf1sbw_la-dette-de-la-france_news



François Asselineau:



U.P.R. L'Histoire de FRANCE. François ASSELINEAU

Les 12 impasses de la construction européenne

U.P.R. "Pourquoi l'Europe est-elle comme elle est ?"



Jacques Cheminade:

Se réveiller dans la tempête / J. Cheminade AG 2010 de S&P

Perfide Empire - Conférence de Jacques Cheminade

La commission Pecora de 1932-34 et la crise aujourd'hui

Coup de poing transatlantique contre l'oligarchie financière

Sauver les nations, Mettre en faillite les spéculateurs

Création monétaire et infrastructure

Links Interview Jacques Cheminade

Jacques Cheminade et Kesha Rogers à Lyon 1/2

Cheminade à Lyon : Rompre avec l'empire financier

 

Relation Franco-américaine en question:

http://www.dailymotion.com/video/xfm5q9_les-relations-franco-americaines-en-question-y-partie-1_news#from=embed

http://www.dailymotion.com/video/xfmu59_les-relations-franco-americaines-en-question-y-partie-2_news

http://www.dailymotion.com/video/xfn96s_les-relations-franco-americaines-en-question-y-partie-3_news



Étienne Chouard:




Etienne Chouard à Metz, Octobre 2011

Étienne Chouard - Sommes-nous en démocratie ?

Débat entre Etienne Chouard et Yvan Blot sur la démocratie réelle

Enjeux de la création monétaire et centralité du tirage au sort en démocratie

Étienne Chouard : Le tirage au sort comme bombe politiquement durable contre l’oligarchie

Entretien avec Étienne Chouard sur la création monétaire et la démocratie athénienne par tirage au sort

LE TIRAGE AU SORT DES DEPUTES


Quelle confiance aux banques centrales?



Banques et états: mensonges et corruptions



Chavez fait face aux banques



Alain Soral, Égalité et Réconciliation:

Alain Soral, entretien sur l’actualité de novembre 2010 ( à propos du bankrun )
  
  
  



Le monde souterrain de LLP:

LLP Apocalypse des révolutionnaires de pacotille 1sur3
  
   
  

En Vrac:

Propaganda: Comment manipuler l'opinion en démocratie 1/2


Vincent Chapin présente son livre "Diviser pour régner"


Pierre Hillard:

Pierre HILLARD - Vers du victoire du mondialisme ?


Pierre Hillard: Sur les liens étroits entre la politique, la monarchie, l'industrie et les Banquiers internationaux

Pierre Hillard : Demain, un gouvernement mondial ?

Pierre Hillard : "Une super-commission va chapeauter le Congrès des USA"

Pierre Hillard : La marche...

Entretien avec Pierre Hillard Par Sylvain Durain

Pierre Hillard : La progression du N.O.M

Pierre Hillard - Conférence à Nantes

Entretien avec Pierre Hillard

Pierre Hillard sur le Nouvel Ordre Mondial

 

Dossier Todd:

Emmanuel Todd / La montée du sentiment national

Après la Démocratie...

Civilisation

Todd VS Valls


Dossier Annie Lacroix-Riz:


 


Dossier Décroissance: 
  

Paul Aries contre les sarkozysmes

  

Conférence de Jean-Pierre Berlan et Dominique Guillet

  

La sobriété heureuse de Pierre Rabhi_1/3


Solutions locales pour un désordre global 1sur6


Extraits Autres jardins

 

Gagnant sur tous les plans avec un sol vivant 

 

Un jardin sans travail du sol 


Ésotérisme, eschatologie, alliance...


laurent james, conférence "esotérisme révolutionnaire" 1/2


Le Dinar d'or, l'Islam & l'avenir de la monnaie - Sheikh Imran Hosein (INTEGRALE)





Gérard Faure-Kapper:

APLOMB: Association Pour la Légalité des Opérations et Mouvements Bancaires. Vous permet de récupérer l'ensemble des frais prélevés illégalement par votre banque.

http://www.youtube.com/watch?v=4k2Gy3vhYVk

http://www.youtube.com/watch?v=849ApKxmXKQ

http://www.youtube.com/watch?v=E0kUwiC-QfA&feature=player_embedded#!


Les Paradis fiscaux:

http://www.dailymotion.com/search/paradis+fiscaux

http://www.dailymotion.com/video/xevyc2_eva-joly-les-paradis-fiscaux-c-est_news

http://www.dailymotion.com/video/xdufjk_01-06-les-paradis-fiscaux-introduct_news

http://www.dailymotion.com/video/xdsfik_pieces-a-conviction-evasion-fiscale_news

http://www.dailymotion.com/video/xdq7bm_prix-de-transfert-le-vrai-scandale_news 


http://www.dailymotion.com/video/xdlbeh_krachs-une-histoire-des-crises-bour_news

http://www.dailymotion.com/video/xc4m0q_definition-de-l-evasion-fiscale-et_webcam 


http://www.dailymotion.com/video/xbm2hm_actionnaires-gruges_news

http://www.dailymotion.com/video/xb6d6p_les-vrais-parasites-francais-1-6_news 


http://www.dailymotion.com/video/xarq9z_part-1-7-paradis-fiscaux-obstacle-a_news  


http://www.dailymotion.com/video/xaa8kg_paradis-fiscaux-la-grande-evasion-p_news


http://www.dailymotion.com/video/x9h2oa_finance-clearstream-denis-robert-1_news





En Vrac: Enron, Edf, FMI, OMC, Goldman Sachs, Madoff, Kerviel, Mosanto, Bettencourt, Bill Gates, Attali, Tapie, émission radio, etc etc...:


http://www.dailymotion.com/video/xgbjqp_frederic-lordon-sur-kerviel-et-la-societe-generale-1-2_news
http://www.dailymotion.com/video/xfwvxn_la-speculation-et-le-fmi_news


http://www.dailymotion.com/playlist/x168xa_WeLoveDocs_l-omc-pour-les-nuls#videoId=xbhou9
http://www.zdnet.fr/blogs/l-esprit-libre/la-fondation-bill-gates-donne-a-l-afrique-et-l-inde-des-millions-et-des-ogm-39709433.htm

http://libertesinternets.wordpress.com/2007/12/06/pourquoi-bill-gates-monsanto-et-rockefeller-ont-ils-peur-de-lavenir/

http://johanlivernette.com/index.php?option=com_content&view=frontpage&Itemid=1

http://www.dailymotion.com/video/x48swf_affaire-enron-bourse-finance-banque_news

http://www.dailymotion.com/video/xcasff_banques-et-etats-mensonges-et-arnaq_news

http://www.dailymotion.com/video/x5zpck_documentaire-finance-mondiale-et-cr_news

http://www.dailymotion.com/video/xah8uu_1-2-max-keiser-sur-goldman-sachs-s_news

http://www.dailymotion.com/video/xepk7i_france-inter-marc-roche-sur-goldman_news

http://www.dailymotion.com/video/xd3ls3_marc-fiorentino-manifestons-devant_news

http://www.dailymotion.com/video/xbvev3_eric-laurent-la-face-cachee-des-ban_news

http://www.dailymotion.com/video/x9peyj_the-world-banking-system-vostfr-fed_news

http://www.dailymotion.com/video/xf3v4v_pourquoi-kerviel-a-failli-faire-sau_news

http://www.dailymotion.com/video/xf4cpb_paul-jorion-le-temps-qu-il-fait-le_news

http://www.dailymotion.com/video/xf4yfu_le-bret-sur-la-sg-kerviel-1-itw-onp_news

http://www.dailymotion.com/video/xfaim3_llp-affaire-kerviel-vs-marc-touati_news

http://www.dailymotion.com/video/xd5zp0_interview-jerome-kerviel-02-05-2010_news

http://www.dailymotion.com/video/xaijbw_kerviel-dit-tout-sur-son-aventure-i_news

http://www.dailymotion.com/video/x703in_la-crise-financiere-est-la-pire-dep_news

http://www.lemonde.fr/economie/article/2008/12/14/fraude-madoff-le-scandale-qui-monte-qui-monte_1131041_3234.html

http://www.marianne2.fr/L-autre-scandale-financier-les-banques-ne-savent-plus-compter_a92291.html

http://www.dailymotion.com/video/xfhc7r_affaire-bettencourt-ump-c-dans-l-air-1_news

http://finance.blog.lemonde.fr/2009/01/08/l%E2%80%99inde-secouee-par-le-scandale-satyam/

http://www.dailymotion.com/video/xff8nc_indemnisation-record-pour-bernard-tapie_news

http://www.dailymotion.com/video/xfedjg_demission-de-dominique-strauss-kahn_news

Attali:
http://www.dailymotion.com/video/x86wmt_conference-jacques-attali-26-01-200_news
http://www.dailymotion.com/video/xa2wsf_france-inter-jacques-attali-et-paul_news
http://www.dailymotion.com/video/x8slhz_jacques-attali-et-alain-gerard-slam_news
http://www.dailymotion.com/video/xdovmq_jean-luc-melenchon-et-jacques-attal_news
http://www.dailymotion.com/video/x8rilm_attali-face-a-we-are-change-paris_news
http://www.dailymotion.com/video/xf0i89_jacques-attali-les-rendez-vous-du-f_creation
http://www.dailymotion.com/video/xch71e_jerusalem-capital-du-nouvel-ordre-m_news


Alex Jones:


Alex Jones : actualité fin janvier S/T

  

( la plupart des vidéos traduites de l'anglais au français le sont par "Hussardelamort" , Merci à lui )





Quelques réflexions de Seb Musset:


http://www.dailymotion.com/video/x86q19_sm-capitalisme-pas-capital_webcam 
http://www.dailymotion.com/video/x6x6ud_sm-faites-sauter-la-banque_webcam
http://www.dailymotion.com/video/x8ac1q_sm-crise-farce-a-sarko-02-09_webcam
http://www.dailymotion.com/video/x97yk3_sm-opportunites-de-crise-1-2_webcam
http://www.dailymotion.com/video/x97yi1_sm-mepris-des-salaries-2-2_webcam 




Maurice Allais:

Maurice Allais écrit aux français

La réforme monétaire


Redonner aux états le pouvoir de battre monnaie

Voici un texte essentiel d’un homme important, Maurice Allais : ce fut d’abord un article clairvoyant et décapant publié dans Le Figaro des 12, 19 et 26 octobre 1998, dans la rubrique Opinions ; puis il fut repris et annoté dans un livre passionnant publié aux courageuses éditions Clément Juglar : de nombreuses notes et annexes supplémentaires que vous trouverez dans le livre (pas ici) permettent à l’auteur de répondre aux objections qu’on lui a présentées. L’ensemble est remarquable, vivant, utile : c’est de l’économie politique, à usage citoyen.
Lecture hautement conseillée. : http://etienne.chouard.free.fr/Europe/messages_recus/La_crise_mondiale_d_aujourd_hui_Maurice_Allais_1998.htm

http://www.esprit-enoch.com/article-36997664.html


Monnaie locale


Jean-Claude Michéa:

Nomadisme Attalien

Origines de la société libérale

Jean-Claude Michéa à Montpellier

L'Empire

Une vie après le libéralisme?


Pierre Carles:

Fin De Concession!

http://video.google.com/videoplay?docid=-4155421612152274150#docid=-1235218397233431416

http://video.google.com/videoplay?docid=-4155421612152274150#docid=3508507041114617683

http://video.google.com/videoplay?docid=-4155421612152274150#docid=3459918714670948456

http://video.google.com/videoplay?docid=-4155421612152274150#docid=-9084835922398472214

http://video.google.com/videoplay?docid=-4155421612152274150#

http://video.google.com/videoplay?docid=-4155421612152274150#docid=-5079487832208620643

http://video.google.com/videoplay?docid=-4155421612152274150#docid=-7672369501188610080



Michel Aglietta:

http://www.franceculture.com/personne-michel-aglietta.html

http://www.gabrielperi.fr/spip.php?id_article=645&id_document=378&page=video

http://www.scienceshumaines.com/index.php?lg=fr&id_dossier_web=31&id_article=11764

http://www.dailymotion.com/video/xfq1mj_reformer-la-fiscalite-entretiens-de-l-afse1-2_news



Michael Moore: 

http://www.dailymotion.com/video/xdyvk7_capitalism-a-love-story-1-7_shortfilms

http://video.google.com/videoplay?docid=-1228437881529561667#


Max Keiser:

http://nemesisnom.fr/politique-et-geopolitique/la-revue-de-presse-du-24-novembre-2010-de-pierre-jovanovic-avec-max-keiser/
http://www.dailymotion.com/video/xdd84d_max-keiser-debat-sur-goldman-sachs_news
http://www.dailymotion.com/video/xddhwa_la-bulle-du-dollar-1x3-vostfr-crise_news
http://www.dailymotion.com/video/xe2hv9_max-keiser-usa-la-guerre-et-la-fail_news
http://www.dailymotion.com/video/xe3za9_explications-sur-la-censure-de-the_news
http://www.dailymotion.com/video/xe4zrp_max-keiser-sur-l-effondrement-du-do_webcam
http://www.dailymotion.com/video/xflzni_alan-greenspan-les-banquiers-sont-criminels-vostfr_news


 
Nous Rappelons! que nous soutenons et écoutons les personnalités, les collectifs, organisations et mouvements: Claude Bourguignon et l'AMS, Colibri et Pierre Rabhi, Scop Le Pavé et Franck Lepage, Égalité et Réconciliation d'Alain Soral, Pierre Hillard, Parousia et Laurent James, François Asselineau, Seb Musset, La dissidence et Vincent Vauclin, Le Planc C et Etienne Chouard, La Chute... et Salim Laïbi "LLP", Michel Drac, Pierre Jovanovic, Franck Abed, Jean-Paul Bourre, Gérard faure-kapper d'APPLOMB.

La banlieue s'exprime et Saïd Moualek, Le Mouvement Vers Rien et Dieudonné, Denissto, Johan Livernette, Kokopelli, Albert Ali, Confédération Paysanne, représentants d'AMAP et de SEL, repésentants d’Eco-Villages, Corine Goujet, Coline Serreau, Franck Nathié (permaculture), Claire Séverac, Anne -Lacroix-Riz, Hervé Kempf, Pierre Carles, Emmanuel Todd, Jean Claude Michéa, Paul Jorion, Olivier Delamarche, Alex Jones, Nigel Farage, James Turk...

Les représentants et satellites de Mécanopolis, des moutons enragés, Scriptoblog, Mécanoblog, Les insoumis, les moutons enragés, Radio Ici et Maintenant, Présence citoyenne et Omar Djelil, Nous Échouerons Vainqueur, Paul-Eric Blanrue, Pierre Carles, Jean-François Noubel, Investig’action, Réseau Voltaire, S&P et Cheminade, Nemesis Tv, Independenza Web Tv, LIESI, médiapart, conspipédia, press of truth, alwissal, le site "le nouvel ordre mondial" et le blog "Anti nouvel orde mondial", Sytinet, planète révélations, ...

CONVERGEONS! 



Liens vers sites, blogs, collectifs d'informations ou d'actions millitantes et dissidentes! :

Égalité et Réconciliation: http://www.egaliteetreconciliation.fr/


Parousia: http://www.parousia.fr/

La Dissidence: http://la-dissidence.org/

RRR:  http://smrrr.wordpress.com/

Réseau Voltaire: http://www.voltairenet.org/
Scriptoblog: http://www.scriptoblog.com/



Le Blog de l'Apocalypse de Pierre Jovanovic: http://www.jovanovic.com/blog.htm


René Guénon, une intuition de la vérité: http://www.rene-guenon.org/



Les moutons enragés: http://lesmoutonsenrages.fr/

Le mouvement vers rien: http://01-rien.org/




Faits et Documents: http://faitsetdocuments.com/

Géostratégie.com: http://www.geostrategie.com/

Johan Livernette: http://johanlivernette.com/


L'encyclopédie du souterrain et Les délices de l'age de
Fer: http://encyclopediedusouterrain.blogspot.com/2011/11/fetichisme-vi-tombeau-de-karl-marx.html



La banlieue s'exprime: http://labanlieuesexprime.org/



Radio Ici et Maintenant: http://icietmaintenant.info/index.php

MESSAGE A DIFFUSER LARGEMENT:

"   CAMARADES CITOYENNES, CAMARADES CITOYENS:

9000  milliards de $ égarés par la Réserve Fédérale (FED) - oO - 9000  MILLIARDS!!! RÉVEILLEZ VOUS, LE GRAND CAPITAL SE FINANCE POUR LE POUVOIR  TOTAL: POURQUOI DÉTOURNENT ILS AUTANT D'ARGENT?

"Donnez-moi le droit d'émettre et de contrôler l’argent d’une nation, et alors peu m’importe qui fait ses lois."
Mayer Anselme ROTHSCHILD, banquier





Si  après ça vous ne comprenez pas qu'ils détournent des milliers de  milliards pour prendre le pouvoir total: je ne sais pas comment vous le comprendrez...

"Je suis un homme très malheureux. J’ai ruiné mon  pays sans le vouloir. Une grande nation industrialisée est contrôlée par  son système de crédit. Notre système de crédit est concentré. La  croissance de notre nation et toutes nos activités sont donc entre les  mains de quelques hommes. Nous sommes devenus l’un des gouvernements les  plus mal gérés, l’un des plus dominés et des plus contrôlés du monde  civilisé. Ce n’est plus un gouvernement de libre opinion, ni un  gouvernement de conviction avec vote de la majorité, mais un  gouvernement d’opinion et de contrainte par un petit groupe d’hommes  dominants. Woodrow WILSON, président des États-Unis 1913-1921"


INITIATIVE CITOYENNE SPONTANÉE

Rejoignez  nous sur le forum "Convergences" de la dissidence.org et parlons en, cela n'engage à rien, toutes les  idées, initiatives, propositions, participations, mise à disposition de  vos talents artistiques ou professionnelles... Sont les bienvenus et  sont appelés par la conscience commune d'un peuple qui s'éveillant au  changement, participe et s'implique pour l'approcher...

Aidez nous à diffuser ces informations et cette initiative citoyenne !

Notre démarche est Légale, Pacifique, laïque, non politisée et non syndicalisée.

La combat et la lutte pour l'émancipation du peuple continue...

Fraternellement.

Laurent, un citoyen et le "collège" de l'initiative: STOPBANQUE

 A vous de jouer et d'affiner vos recherches...




"Ne confondez pas égalité et uniformité"(Swami Prajnanpada)




Si vous voulez comprendre cette action il vous faut comprendre l'émission monétaire:

Un citoyen au sujet de l'émission monétaire: "Aujourd’hui en 2010 la dette de la France s’élève à 1600 milliards d’euros, ce qui nous coûte la somme colossale de 110 millions d’euros par jour!

Mais comment en sommes nous arrivés là ?

Georges Pompidou fit parti du cercle restreint des proches du général de Gaulle, et cette proximité lui valut d’être nommé chef de s...on cabinet d’avril 1948 à 1953.

En 1953, il entra à la banque Rothschild, où il occupa rapidement les fonctions de directeur général et d’administrateur de nombreuses sociétés. Ce fut pour lui l’occasion de participer à la vie économique du pays, d’accroître le champs de ses compétences et d’établir un éventail plus large de relations.


Le général de Gaulle élu à la présidence, Georges Pompidou retourna pendant quelques temps vers le monde de l’entreprise en réintégrant la banque Rothschild.

Georges Pompidou s’installa à l’Élysée le 15 juin 1969. Son mandat fut écourté par son décès le 2 avril 1974 à Paris.

3 janvier 1973, réforme de la Banque de France.


Dans la loi portant sur la réforme des statuts de la banque de France, nous trouvons en particulier cet article 25 très court, qui bloque toute possibilité d’avance au trésor :


« Le Trésor public ne peut être présentateur de ses propres effets à l’escompte de la banque de France. »
Ce qui signifie que l’article 25 de la loi 73-7 du 3 janvier 1973 interdit à la Banque de France de faire crédit à l’État, condamnant la France à se tourner vers des banques privées et à payer des intérêts ; alors qu’avant cette loi, quand l’État empruntait de l’argent, il le faisait auprès de la banque de France qui, lui appartenant, lui prêtait sans intérêt.

Autrement dit : auparavant, l’État français avait le droit de battre monnaie, et avec cette nouvelle loi, il perd ce droit qui est du même coup légué aux banques privées, qui en profitent pour s’enrichir aux dépends de l’État en lui prêtant avec intérêt l’argent dont il a besoin. Les 1500 milliards représentent uniquement des intérêts.
Cette décision correspond à une privatisation de l’argent et ramène la nation au même rang que n’importe lequel de ses citoyens. Si nous avions pu créer notre monnaie — faire exactement ce qu’ont le droit de faire les banques privées — la dette publique serait quasiment inexistante aujourd’hui.


Georges Pompidou a été le directeur général de la banque Rothschild ; il en était le valet, il n’est par conséquent pas étonnant qu’il ait fait cette loi du 3 janvier 1973 qui interdit à l’État français de battre monnaie et qui a endetté la France d’une façon structurelle et incommensurable auprès de banques privées comme la banque Rothschild. Depuis cette date, la dette publique et le chômage n’ont fait qu’augmenter : ce fut la fin des 30 glorieuses. Sans cette dette il n'y aurait pas de problème des retraites.


Cette loi a ensuite été reprise dans les traités ultra-libéraux de Maastricht et de Lisbonne qui fondent l'Union Européenne.Pour sortir de cette situation cauchemardesque et du parasitisme des banques privées, il faut donc absolument sortir de l’Union Européenne."


INA.FR:Référendum traité union européenne : plateau invités:( à voir absolument! )

http://fr.wikipedia.org/wiki/Monnaie


http://revolution-monetaire.blogspot.com/2009/07/comment-la-politique-irresponsable-de.html


DÉCLARATION DES DROITS DE L'HOMME ET DU CITOYEN de 1793
Le peuple français, convaincu que l'oubli et le mépris des droits naturels de l'homme, sont les seules causes des malheurs du monde, a résolu d'exposer dans une déclaration solennelle, ces droits sacrés et inaliénables, afin que tous les citoyens pouvant comparer sans cesse les actes du gouvernement avec le but de toute institution sociale, ne se laissent jamais opprimer, avilir par la tyrannie ; afin que le peuple ait toujours devant les yeux les bases de sa liberté et de son bonheur; le magistrat la règle de ses devoirs; le législateur l'objet de sa mission. 
En conséquence, il proclame, en présence de l'Etre suprême, la déclaration suivante des droits de l'homme et du citoyen.
Article premier. Le but de la société est le bonheur commun; le gouvernement est institué pour garantir à l'homme la puissance de ses droits naturels et imprescriptibles.
Article 2. Ces droits sont l'égalité, la liberté, la sûreté, la propriété.
Article 3. Tous les hommes sont égaux par la nature et devant la loi.
Article 4. La loi est l'expression libre et solennelle de la volonté générale; elle est la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse; elle ne peut ordonner que ce qui est juste et utile à la société; elle ne peut défendre que ce qui lui est nuisible.
Article 5. Tous les citoyens sont également admissibles aux emplois publics. Les peuples libres ne connaissent d'autres motifs de préférence, dans leurs élections, que les vertus et les talents.
Article 6. La liberté est le pouvoir qui appartient à l'homme de faire tout ce qui ne nuit pas aux droits d'autrui : elle a pour principe la nature; pour règle la justice; pour sauvegarde la loi ; sa limite morale est dans cette maxime : Ne fais pas à un autre ce que tu ne veux pas qu'il te soit fait.
Article 7. Le droit de manifester sa pensée et ses opinions, soit par la vole de la presse, soit de toute autre manière, le droit de s'assembler paisiblement, le libre exercice des cultes, ne peuvent être interdits. La nécessité d'énoncer ces droits suppose ou la présence ou le souvenir récent du despotisme. 
Article 8. La sûreté consiste dans la protection accordée par la société à chacun de ses membres pour la conservation de sa personne, de ses droits et de ses propriétés.
Article 9. La loi doit protéger la liberté publique et individuelle contre l'oppression de ceux qui gouvernent.
Article 10. Nul ne doit être accusé, arrêté ni détenu, que dans les cas déterminés par la loi et selon les formes qu'elle a prescrites. Tout citoyen, appelé ou saisi par l'autorité de la loi, doit obéir à l'instant; il se rend coupable par la résistance.
Article 11. Tout acte exercé contre un homme hors des cas et sans les formes que la loi détermine, est arbitraire et tyrannique ; celui contre lequel on voudrait l'exécuter par la violence a le droit de le repousser par la force.
Article 12. Ceux qui solliciteraient, expédieraient, signeraient, exécuteraient ou feraient exécuter des actes arbitraires, seraient coupables, et doivent être punis.
Article 13. Tout homme étant présumé innocent jusqu'à ce qu'il ait été déclaré coupable, s'il est jugé indispensable de l'arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s'assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi.
Article 14. Nul ne doit être jugé et puni qu'après avoir été entendu ou légalement appelé, et qu'en vertu d'une loi promulguée antérieurement au délit. La loi qui punirait les délits commis avant qu'elle existât serait une tyrannie ; l'effet rétroactif donné à la loi serait un crime.
Article 15. La loi ne doit décerner que des peines strictement et évidemment nécessaires : les peines doivent être proportionnées au délit et utiles à la société.
Article 16. Le droit de propriété est celui qui appartient à tout citoyen de jouir et de disposer à son gré de ses biens, de ses revenus, du fruit de son travail et de son industrie.
Article 17. Nul genre de travail, de culture, de commerce, ne peut être interdit à l'industrie des citoyens.
Article 18. Tout homme peut engager ses services, son temps; mais il ne peut se vendre, ni être vendu; sa personne n'est pas une propriété aliénable. La loi ne reconnaît point de domesticité; il ne peut exister qu'un engagement de soins et de reconnaissance, entre l'homme qui travaille et celui qui l'emploie. 
Article 19. Nul ne peut être privé de la moindre portion de sa propriété sans son consentement, si ce n'est lorsque la nécessité publique légalement constatée l'exige, et sous la condition d'une juste et préalable indemnité.
Article 20. Nulle contribution ne peut être établie que pour l'utilité générale. Tous les citoyens ont le droit de concourir à l'établissement des contributions, d'en surveiller l'emploi, et de s'en faire rendre compte.
Article 21. Les secours publics sont une dette sacrée. La société doit la subsistance aux citoyens malheureux, soit en leur procurant du travail, soit en assurant les moyens d'exister à ceux qui sont hors d'état de travailler.
Article 22. - L'instruction est le besoin de tous. La société doit favoriser de tout son pouvoir les progrès de la raison publique, et mettre l'instruction à la portée de tous les citoyens.
Article 23. La garantie sociale consiste dans l'action de tous, pour assurer à chacun la jouissance et la conservation de ses droits; cette garantie repose sur la souveraineté nationale.
Article 24. Elle ne peut exister, si les limites des fonctions publiques ne sont pas clairement déterminées par la loi, et si la responsabilité de tous les fonctionnaires n'est pas assurée.
Article 25. La souveraineté réside dans le peuple; elle est une et indivisible, imprescriptible et inaliénable.
Article 26. Aucune portion du peuple ne peut exercer la puissance du peuple entier; mais chaque section du souverain assemblée doit jouir du droit d'exprimer sa volonté avec une entière liberté.
Article 27. Que tout individu qui usurperait la souveraineté soit à l'instant mis à mort par les hommes libres.
Article 28. Un peuple a toujours le droit de revoir, de réformer et de changer sa Constitution. Une génération ne peut assujettir à ses lois les générations futures.
Article 29. Chaque citoyen a un droit égal de concourir à la formation de la loi et à la nomination de ses mandataires ou de ses agents. 
Article 30. Les fonctions publiques sont essentiellement temporaires ; elles ne peuvent être considérées comme des distinctions ni comme des récompenses, mais comme des devoirs.
Article 31. Les délits des mandataires du peuple et de ses agents ne doivent jamais être impunis. Nul n'a le droit de se prétendre plus inviolable que les autres citoyens.
Article 32. Le droit de présenter des pétitions aux dépositaires de l'autorité publique ne peut, en aucun cas, être interdit, suspendu ni limité.
Article 33. La résistance à l'oppression est la conséquence des autres Droits de l'homme.
Article 34. Il y a oppression contre le corps social lorsqu'un seul de ses membres est opprimé. Il y a oppression contre chaque membre lorsque le corps social est opprimé.
Article 35. Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.

Bien entendu, nos 35 droits fondamentaux furent "remaniés"... Ce qui va à l'encontre de ces droits de l'homme eux mêmes: je me référerai donc à la déclaration de 1793 par le droit inaliénable qu'elle conférait en sa signature et son existence!   

La Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen

Inspirée de la déclaration de l’indépendance américaine de 1776 et de l’esprit philosophique du XVIIIème siècle, la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789 marque la fin de l’Ancien Régime et le début d’une ère nouvelle. Expressément visée par la Constitution de la Vème République, elle fait aujourd’hui partie de nos textes de référence.





Les représentants du peuple français, constitués en Assemblée nationale, considérant que l’ignorance, l’oubli ou le mépris des droits de l’homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des gouvernements, ont résolu d’exposer, dans une déclaration solennelle, les droits naturels, inaliénables et sacrés de l’homme, afin que cette déclaration, constamment présente à tous les membres du corps social, leur rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs ; afin que les actes du pouvoir législatif et ceux du pouvoir exécutif, pouvant être à chaque instant comparés avec le but de toute institution politique, en soient plus respectés ; afin que les réclamations des citoyens, fondées désormais sur des principes simples et incontestables, tournent toujours au maintien de la Constitution et au bonheur de tous.
En conséquence, l’Assemblée nationale reconnaît et déclare, en présence et sous les auspices de l’Etre Suprême, les droits suivants de l’homme et du citoyen.

Article premier - Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l’utilité commune.
Article 2 - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l’oppression.
Article 3 - Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d’autorité qui n’en émane expressément.
Article 4 - La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l’exercice des droits naturels de chaque homme n’a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi.
Article 5 - La loi n’a le droit de défendre que les actions nuisibles à la société. Tout ce qui n’est pas défendu par la loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à faire ce qu’elle n’ordonne pas.
Article 6 - La loi est l’expression de la volonté générale. Tous les citoyens ont droit de concourir personnellement ou par leurs représentants à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu’elle protège, soit qu’elle punisse. Tous les citoyens, étant égaux à ses yeux, sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents.
Article 7 - Nul homme ne peut être accusé, arrêté ou détenu que dans les cas déterminés par la loi et selon les formes qu’elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires doivent être punis ; mais tout citoyen appelé ou saisi en vertu de la loi doit obéir à l’instant ; il se rend coupable par la résistance.
Article 8 - La loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, et nul ne peut être puni qu’en vertu d’une loi établie et promulguée antérieurement au délit, et légalement appliquée.
Article 9 - Tout homme étant présumé innocent jusqu’à ce qu’il ait été déclaré coupable, s’il est jugé indispensable de l’arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s’assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi.
Article 10 - Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la loi.
Article 11 - La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme ; tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.
Article 12 - La garantie des droits de l’homme et du citoyen nécessite une force publique ; cette force est donc instituée pour l’avantage de tous, et non pour l’utilité particulière de ceux à qui elle est confiée.
Article 13 - Pour l’entretien de la force publique, et pour les dépenses d’administration, une contribution commune est indispensable ; elle doit être également répartie entre les citoyens, en raison de leurs facultés.
Article 14 - Les citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d’en suivre l’emploi, et d’en déterminer la quotité, l’assiette, le recouvrement et la durée.
Article 15 - La société a le droit de demander compte à tout agent public de son administration.
Article 16 - Toute société dans laquelle la garantie des droits n’est pas assurée ni la séparation des pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution.
Article 17 - La propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n’est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l’exige évidemment, et sous la condition d’une juste et préalable indemnité.





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